Autres temps autres meurtres
Notre société progresse incontestablement. Il y a quelques années encore on trucidait le plus communément son prochain en lui administrant une dose d’un poison domestique comme la mort au rat ou une dragée voire un pruneau, selon les goûts, d’un calibre quelconque, le 6,35 et le 7,65 étant quand même plus délicats qu’un trop perforant 11,43. Aujourd’hui on égorge ou on décapite, ce qui est […]
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