Vous me connaissez, plus prudent que moi… Bref, pour avoir la paix je ferais n’importe quoi… y compris appliquer la théorie du genre à la lettre. Croyez-moi, ce n’est pas facile lorsqu’on vient de fêter ses 80 balais dans un sabbat de sorcières surexcitées. Et de vous poser une myriade de questions existentielles.
L’été est particulièrement favorable aux promenades au plus profond de nos campagnes. C’est donc l’occasion de nous rapprocher de ces braves animaux que la vie trépidante d’une société urbanisée nous a fait oublier. Sans être antispécistes ni même végétariens, on peut comprendre l’ambiguïté de certains de nos propos familiers mal perçus par le monde animal
La scène : un poulet est au bord d’une route ; Il la traverse. Pourquoi le poulet a-t-il traversé la route ? RENÉ DESCARTES : Pour aller de l’autre côté. PLATON : Pour son bien. De l’autre côté est le Vrai. ARISTOTE : C’est la nature du poulet que de traverser les routes. KARL MARX : C’était historiquement et socialement inévitable. HIPPOCRATE : c’est en […]
Alors même que la bienveillance, trop longtemps oubliée, elle resurgit sournoisement sous la forme d’un vulgaire synonyme de tolérance, elle doit bénéficier à notre gouvernement. De grâce, cessons de critiquer nos ministres. Le fardeau chronophage dont ils sont bâtés empêche leur esprit délié de penser avant de réfléchir ! À la veille de leur trop courte pause estivale je me permets, en toute humilité, de leur […]
Encore que la réponse lapidaire de Cambronne devienne plus que jamais d’actualité face à l’avalanche de mises en demeure sociétales qui nous accable, cette apostrophe ne vise que le prénommé André (agrégé de Lettres, jadis inspecteur de l’Instruction Publique) et son collègue et néanmoins complice, le normalien Laurent. Ils incarnèrent pendant des décennies la défense de la littérature française.
« Or Messieurs, la comédie que l’on juge en cet instant, sauf erreur, nous peint la vie du bon peuple qui l’entend. Qu’on l’opprime, il peste, il crie, il s’agite de cent façons. Tout finit par des chansons… » C’est ce que concluait déjà, Pierre Augustin Caron, maître horloger déconstruit, qu’un heureux mariage avait reconstruit en Beaumarchais. De La Carmagnole au Chant du Départ, du Chant des […]