Rien n’est trop beau pour calmer le bon peuple
(Presque) tout s’achète, car (presque) tout est à vendre : ainsi de la paix sociale pour un été qui suit un printemps de turbulences gauchistes et syndicales, en attendant la nouvelle flambée d’actes terroristes, perpétrés au nom d’une divinité exotique.
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