12 novembre 2019

Le Droit des minorités ? Bien sûr ! Mais de toutes les minorités

Par Bernard Plouvier

En notre ère d’économie globale, de mondialisation de la propagande politicienne et « culturelle », de brassage des races et des ethnies, toute minorité – fût-elle celle des adorateurs de n’importe quelle « divinité maboule » (un néologisme piqué à Emil Cioran) – réclame et généralement obtient son droit à la reconnaissance… donc à sa capacité de nuisance envers autrui.

Emil Cioran.

Emil Cioran.

Certaines femmes ont obtenu le droit à l’avortement de complaisance et même son remboursement intégral par la Sécurité Sociale. En conséquence, chaque décennie, 2,5 millions de bébés ne naissent pas en France et l’on importe du million d’immigrés d’origine extra-européenne… cherchez l’erreur stratégique !

Et lorsque des observateurs de l’évidence dénoncent l’erreur dramatique qu’est l’immigration-invasion, on cherche à les faire taire, en les diabolisant ou en les envoyant affronter un juge. La réponse est à la fois grotesque et inadaptée.

À l’opposé de la Loi Veil, des LGBT veulent absolument goûter aux joies et aux charmes (supposés) de la paternité-maternité.

Certes, il y aura des couples homosexuels qui éduqueront aussi bien leur(s) enfant(s) que les moins mauvais des couples parentaux normaux… car, n’en déplaise à certain(e)s propagandistes, un couple homme-femme ne met les enfants à l’abri ni de l’alcoolisme ou de la toxicomanie des parents, ni des brutalités, ni des sévices moraux, voire sexuels. Et tous – homo et hétéro bons éducateurs – pourront ainsi goûter à la somme d’emm… (disons : d’ennuis) que procurent les adorables rejetons.

Des maladies infantiles et caprices du nourrisson aux émerveillements du bambin de l’école maternelle et primaire (mais aussi à ses premières confrontations avec les « petits camarades »), puis les émois, les révoltes en principe idéalistes, en réalité souvent narcissiques, et les super-caprices plus ou moins coûteux de l’adolescence : il n’existe aucune raison d’en priver les parents homosexuels.

Tous, homo et hétéro, pourront ensuite, à l’orée de la vieillesse, contempler l’arrogance et l’ingratitude de leurs délicieux bambins mués en adultes. Soyons honnêtes, il existe des enfants sympathiques et reconnaissants au long cours : pas question d’en priver les LGBT méritants.

Dans un autre registre minoritaire, que des sectateurs du dieu-camembert ou de n’importe quelle invention de l’esprit humain veuillent manifester leur foi, leur délire, leur « créativité », pourquoi pas ? C’est rarement beau, mais parfois pittoresque. Toutefois, il est hors de question que les sectaires puissent obtenir des faiseurs de lois et autres pondeurs de décrets l’interdiction de s’exprimer pour celles et ceux qui s’opposent à leurs billevesées.

Toutes les minorités ethniques, religieuses, politiques, sectaires, parascientifiques etc. doivent avoir le droit de s’exprimer – hormis calomnies et pornographie publiquement affichées que la loi doit interdire. Mais aucune minorité ne peut empêcher l’expression d’une autre minorité et encore moins celle de la majorité des citoyens.

Que les gaucho-bolcho-trotskystes, qui sont souvent des fils et des filles-à-papa friqués, hyperprotégés par les relations de papa ou de maman, détruisent les biens de ceux qui ne partagent pas leur délire ou se mettent courageusement à cinq ou six pour tabasser un opposant, cela ne devrait pas être admis. Or la « Justice », du moins en France ou en Italie, s’avère fort laxiste pour les fifils et fifilles BCBG et « à relations », temporairement adonnés à l’activisme dit « d’extrême-gauche ».

Que ces gamins et gamines se donnent l’illusion de « préparer la révolution », solubilisant leur marxisme dans l’alcool et d’autres stupéfiants, en attendant de jouir des millions de papa ou de maman planqués en Suisse, au Lichtenstein, au Luxembourg, à Gibraltar, dans les Îles anglo-normandes ou en quelque autre lieu plus exotique, si cela les amuse, Pourquoi pas ! Du moins, doit-on les empêcher de nuire à d’honnêtes citoyens qui n’ont ni leur fortune ni leurs idées démentes… celles-là mêmes qui ont occasionné la mort de 150 à 200 millions d’êtres humains au XXe siècle et gâché irrémédiablement l’existence de deux milliards de pauvres diables obligés de vivre dans les ineptes et sanglantes dictatures marxistes.

La liberté d’expression ne se divise pas. Elle n’est pas la propriété d’un lobby, d’une race ou d’une ethnie, d’une religion, d’un groupe de partis politiques ou d’une secte, cette possession exclusive définissant le totalitarisme.

On doit accorder le droit de s’exprimer non seulement à toute minorité, mais à toutes les minorités, même celles qui déplaisent aux maîtres du jeu actuel. Enfin, il faut toujours se rappeler qu’il n’est qu’un seul souverain légitime de l’État : la Nation, qui doit être impérativement consultée avant tout choix majeur de société, engageant l’avenir.

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