5 janvier 2018

Super-Macron et les fausses nouvelles

Par Bernard Plouvier

Par son nouvel effet d’annonce, notre Super-Président veut pourfendre les fake news d’internet (en français courant : les fausses nouvelles des réseaux sociaux). Comme disait le général de Gaulle : « Vaste problème ! ».

fake news

Et l’on ne s’attendait pas à ce qu’un enfant chéri des médias sophistiqués, un chevalier du tweet, un pur produit de la publicité politique, si l’on préfère de la communication préélectorale de 2017, se mue, à l’occasion des vœux de nouvel An, en Saint Michel ou en Saint Georges désireux de terrasser le dragon des médias modernes, aussi menteurs que les anciens, mais avec une efficience multipliée par les réseaux sociaux, omniprésents et – sans jeu de mots – immédiats, soit instantanés.

En 2017, Super-Macron est élu chef de l’État grâce à un marketing politico-médiatique d’une ampleur exceptionnelle et dont on ne sait ce qu’il a coûté aux sponsors… et l’on se doute bien lesquels ils sont, par le discours du Président russophobe et Poutinophobe enragé.

En 2018, Saint-Georges Macron veut interdire les « fausses nouvelles », alors même que les promesses électorales sont, par essence et sauf exception populiste, mensongères autant que démagogiques, soit d’authentiques faux en matière d’information.

Faut-il croire que notre Hercule veut nettoyer les écuries de la Ve République agonisante ? On serait heureux, sur ce plan, de le voir à l’œuvre.

Car, plutôt que de se mêler de ce qui se passe en Russie ou de tenter d’aider une nouvelle née, l’insurrection iranienne fomentée par les maîtres de Washington – New York-Jérusalem (le trio infernal qui menace la sécurité planétaire, bien plus que le fou furieux de Corée du Nord, dépourvu de réelle capacité de nuire à l’Occident), Macron, superstar médiatique, a de quoi faire en France.

Notre Superman pourrait, entre bien d’autres exemples, lutter contre la corruption politique et administrative. Car c’est faire une fausse nouvelle que de présenter une fois tous les deux ou trois ans un pourri et le lyncher médiatiquement, pour laisser dans l’ombre des milliers d’autres. Et on pourrait en dire autant des crapules sexuelles perverses, mâles, mais aussi femelles et homosexuelles.

Superhéros pourrait aussi cesser le fake news français permanent à propos des statistiques ethniques. La Nation, seul souverain naturel de l’État, pourrait ainsi apprendre combien d’extra-Européens, combien de mahométans, on lui a fait accueillir sans lui demander, le moins du monde, son avis.

De même, on cesserait d’employer l’euphémisme constant des « Jeunes » à propos des voyous d’origine exotique, car en matière de fake news, la France bat tous les records de désinformation sur l’origine ethnique des détenus emprisonnés, des racketteurs et des violeurs, des trafiquants de drogue et d’armes, des vols avec violence, des attaques de vieillards en leur domicile, des agressions de membres des forces de l’ordre ou des pompiers, voire des médecins et du personnel hospitalier.

Si Superman-de-l’information-honnête veut pourfendre le dragon de la fake news à la mode : le réchauffement climatique, on n’y voit aucun inconvénient. On ne nie pas qu’il existe un faible réchauffement en régions intertropicales. Cela n’intéresse guère les Français de métropole, sauf quand les dirigeants des multinationales s’agitent pour « refiler » aux contribuables occidentaux la facture très lourde des exigences monétaires des excellences locales.

Pour avoir le droit d’exploiter les ressources naturelles des pays sous-développés de ces zones, les grands prédateurs doivent graisser, et abondamment, la patte très avide des élus locaux.

Ceci n’est ni un scoop ni une fausse nouvelle et ne tombe donc pas dans les objectifs annoncés de notre jeune et sémillant Président. Dommage ! Pour une fois, la recherche de la vérité aurait pu devenir utile, ne serait-ce qu’en évitant d’aggraver la charge fiscale, par la fake news du réchauffement généralisé.

Allons ! il est plus simple de se limiter à la politicaille franchouillarde et de préparer les échéances électorales prochaines en sortant une législation qui, curieusement, ne touchera que les adversaires du grand homme solidement installé sur son trône… grâce à une campagne de publicité qui fut en grande partie mensongère.

On nous avait vendu un réformateur sérieux et dynamique. L’on a acheté un tweeter, certes remarquable, mais qui joue un peu trop au cow-boy du star-system globalo-mondialiste, au lieu de se soucier de notre Bien commun.

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