Sortir des formes de contestation tolérées par le système !
Au cours des rencontres sympathiques que j’avais avec l’ancien conseiller régional FN Farid Smahi, j’avais évoqué avec lui une affirmation du Coran qui me semblait assez illogique avec la place que l’on accordait à Mahomet dans la croyance.
En effet, suivant le texte de la fin des temps, ce n’est point le prophète de l’Islam qui doit revenir juger le peuple, mais bien Jésus. Pourtant dans le Livre, si Jésus (Issa) est cité, il a beaucoup moins d’importance pour l’Islam que Mahomet qui, lui, est le sceau de la révélation ! Farid Smahi était également de l’avis qu’on pouvait s’interroger sur cela.
Or, un philosophe Allemand vient de jeter un gros pavé dans la mare islamique, en révélant que les plus vieux textes du Coran, n’auraient pas été écrits dans l’arabe actuel, mais dans le langage de l’époque qui devait beaucoup à l’araméen et quelque peu au syriaque.
Et il prétend qu’une révision correcte ne faisait que confirmer en gros les Évangiles, avant que les successeurs de Mahomet n’aient ajouté au texte des sourates inventées pour légitimer leur pouvoir arbitraire.
Bien sûr, cette information devra être confirmée, pour être retenue, mais il est certain que bien des intellectuels arabes scrutent aujourd’hui un texte, tellement clos hors des acquis des sciences actuelles, qu’ils ont le souci de le mettre en phase avec nos progrès de société.
En sus, cette recherche ne peut être séparée de ce qui ressemble à la volonté de la Vierge Marie d’apparaître à Fatima, comme un signe, et plus récemment au Caire.
Et il est en sus une lettre de Sainte Bernadette au Saint-Père qui vient d’être rendue publique, laquelle annonçait la conversion des musulmans et des juifs.
L’authenticité de cette lettre est contestée, mais une prophétie de Sainte Odile d’Orval annonçait déjà ainsi la conversion des musulmans : « On verra les deux cornes de la lune se réunir à la croix ! »
Et j’ai également relevé dans un monastère du Sinaï, une pierre sculptée avec une croix à l’intérieur du croissant…
Cela doit être considéré avec prudence mais vient cependant à point nous redonner quelque espérance au moment où une partie de l’Église catholique opère un mouvement, que l’on peut considérer comme apostatique, vers l’Islam.
Ainsi par exemple, dans les documents de Missiologie de la faculté de Théologie, de l’université catholique de Lyon, pouvait-on lire cette prise de position syncrétiste formellement opposée à la tradition : « Il faudra reconnaître la parité des révélations. La parole divine étant essentiellement une, elle revêt des formes différentes dans le Christianisme avec Jésus, verbe divin, et dans l’Islam avec le Coran, parole divine. L’Islam est une révélation originale qui continue la révélation primordiale de Dieu à l’Humanité, sous une forme parfaitement adaptée aux conditions cycliques présentes. »
Si je sais lire, cela signifie que le Christ qui commande de remettre l’épée au fourreau n’est pas plus légitime que Mahomet qui commande d’en couper les têtes !
On peut y voir aussi un appel à embrasser le Coran, puisque c’est l’Islam, dont l’ecclésiastique précise que c’est lui qui est bien adapté aux « conditions cycliques présentes » !
Bref, nous sautons à pieds joints dans le syncrétisme, cette tendance qui après avoir enseigné que « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », désarme les Chrétiens pour les livrer à la barbarie. Je ne sais point ce qu’était le Coran avant qu’il n’ait été manipulé, au profit du brigandage des imams, mais moi je sais que dans son état actuel, il est la caution permanente du crime contre l’humanité.
Il a toujours existé dans l’Église de France cette tendance épiscopale de prendre des libertés par rapport aux instructions de Rome. C’est ce qu’on appelait le gallicanisme. Ainsi, par exemple, quand Léon XIII publia en 1891 l’Encyclique Rerum Novarum, 13 évêques français seulement sur 89 lui firent écho !
Et lorsque Paul VI rappela la position de l’Église sur la sexualité, le professeur de morale à l’institut catholique, René Simon, publia dans La croix du 4 février 1976, un article de rébellion, ou il parlait de « colonisation morale » de l’autorité romaine. Et bien des théologiens, ou se disant tels, lui firent écho ! Et quelques années après, les hérésiarques ayant fait des petits, Monseigneur Gaillot, évêque d’Évreux pouvait écrire dans Le journal du Dimanche (20 novembre 1991) : « L’Évangile est une parole parmi d’autres, une parole contestable, et nous ne devons pas chercher à l’imposer ! »
Aujourd’hui, on peut se demander si le Pape lui-même ne s’est pas égaré dans les méandres de la charité « moderniste ». Qu’il nous incite à respecter les « valeurs » du Coran, au moment ou le Livre est mis en avant par les égorgeurs, nous fait craindre que nous en revenions à ce temps ou le Pape Libère, ayant faibli, excommunia Athanase qui persistait dans la vérité catholique.
C’est avec inquiétude que je dois citer Saint Paul, qui, traitant des derniers temps pour les Tessaloniciens, a pu écrire : « L’adversaire ira jusqu’à s’asseoir en personne dans le sanctuaire de Dieu ! ».
Et dix-huit siècles plus tard, Notre dame à la Salette, viendra nous rappeler la tragique fragilité des hommes d’Église !
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Je me suis souvent demandé si le « basculement des pôles » que craignent la plupart de nos scientifiques, ne serait pas la conséquence physique du basculement de la chrétienté dans le culte de l’homme, et si nous ne sommes pas à la veille d’un basculement politique, ou le surnombre des étrangers sur notre sol sera pour quelque chose.
On vient de nous annoncer la libération de plusieurs centaines de condamnées djihadistes qui ont purgé leur peine, et dont il sera impossible de surveiller le nombre. À ceux-là s’ajouteront les petites crapules ayant également purgé leur peine, et qui se seront « radicalisées » au contact des autres !
Plus que jamais, l’armée serait nécessaire sur notre sol, mais elle fait ailleurs son devoir humanitaire, à la place des jeunes de ces pays qui ne veulent pas se battre.
Ne serait-il pas prudent d’étudier dès à présent des formes de résistance plus radicales, que nos protestations verbales ? Il fut un temps ou Michel Rocard au PSU, dans une préface au livre du paysan gauchiste Lambert, recommandait de « sortir des formes de contestation tolérées par le système ! »
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