16 juillet 2024

Bilan de la Macronie : en marche vers un danger trop connu

Par Bernard Plouvier

Il est évident que le bilan du séjour élyséen de notre Génial Grand Timonier ne peut qu’être provisoire. Constitutionnellement, notre moderne Attila conserve une capacité de nuisance, en dépit de ses déculottées électorales… à moins que par un beau geste – que l’on n’espère pas trop de Sa Suffisance –, il ne s’en aille comme le fit Charles de Gaulle en 1946, puis en 1969.

Même s’il nous réserve des surprises, il restera tristement célèbre pour deux évidences.

  • Non seulement, il n’a rien fait pour améliorer l’existant, mais encore il a aggravé les imperfections les plus criantes de notre République agonisante : Insécurité, invasion d’éléments étrangers à notre continent et qui veulent changer notre organisation sociale et culturelle, eésertification industrielle – donc dépendance, singulièrement d’une Asie où, la richesse aidant, les potentats deviennent de plus en plus agressifs –, effondrement de l’instruction publique et du système hospitalier, chômage stable aux alentours de 6 millions de victimes, « pleines ou partielles ».
  • À quoi, notre Président-Dictateur-Général, par une touche très personnelle, vient ces deux dernières années d’ajouter un risque de guerre continentale. Même Chirac – certes coincé par ses compromissions antérieures avec Saddam Hussein – avait évité de nous emmener dans l’aventure d’une guerre avec les sunnites pour des armes de destruction massive que jamais nul ne trouva.

On ne sait trop combien de nos pièces d’artillerie, ni combien de milliers d’obus ont été expédiés en Ukraine pour un conflit bien moins clair dans ses motivations que ne le prétend la propagande estampillée OTAN. On ne sait même pas le nombre de « conseillers militaires » français qui y sont engagés, tant l’activité macronienne est de type Nacht und Nebel (une expression qui n’est pas « nazie », étant tirée des premier et quatrième épisodes de la Tétralogie de Richard Wagner).

On sait encore moins comment vont réagir les deux grands protagonistes : celui de Washington (soit l’entourage du sieur Biden, atteint de démence – on en a eu confirmation cette fin juin) et celui de Moscou. Vont-ils estimer que les terres entre Don et Dniepr, peuplées à l’Ouest d’Ukrainiens et à l’Est de Russes, peuvent être partagées selon le Droit des peuples ou, au contraire, vont-ils faire dégénérer un conflit d’intérêt purement régional en guerre continentale, voire en Armageddon nucléaire ?

À la limite, on s’en ficherait comme on est en droit de se désintéresser de la très longue guerre entre sionistes et antisionistes : ça se passe loin à l’Est, même si cet « Est », fort corrompu et fanatisé, emplit la planète de ses bruits de haine et de ses manifestations sanglantes de fureur idiote.

L’ennui est que notre Génial Timonier, incapable de régler quel que problème français que ce soit, est allé fourrer son nez dans une guerre qui ne nous concerne en aucun cas.

La bonne question à se poser est celle-ci : est-ce que notre Génial excité va ou non nous précipiter dans une guerre encore plus stupide que la Guerre pour Dantzig… dont on fêtera en septembre le 85e anniversaire ?

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