Étiquette : Vincent Peillon

4 avril 2018

Les Nécrophages

Le héros coranique accepte de risquer sa vie pour tuer les autres ; le héros catholique accepte de mourir pour sauver celle d’un autre…   « La seule chose que nous puissions faire de notre vie, c’est de la donner » (Dr Wayne Dier – Le virage). Jamais nos régimistes de tout poil n’auraient rêvé circonstance aussi favorable à leur crédit que l’égorgement du Lieutenant-Colonel Beltrame. Car si […]

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4 novembre 2017

Entretien avec Alain Escada, président de Civitas

Le magazine Réfléchir & Agir n°56 a publié un entretien avec Alain Escada, le président de Civitas, qui mérite toute l’attention du camp national. Personnalité vue à la télé comme le nouveau Grand Méchant Loup hexagonal depuis les manifestations géantes contre le mariage homo et des pièces de théâtre blasphématoires, Alain Escada est le président de Civitas qui vient d’ailleurs de se transformer en parti politique. […]

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14 juillet 2017

Faut-il abattre la République ?

Telle est, en substance, la question posée – en termes moins châtiés – par la corrosive revue de désintoxication idéologique, Réfléchir & Agir, dans son dernier numéro d’été. Pourquoi tant de haine à l’égard d’une entité plutôt abstraite à laquelle on prête un visage avenant aux doux traits féminins, tout aussi mythifiés ? Voilà, précisément, le hiatus. Entéléchie ou concept éthéré, la République est à peu […]

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24 janvier 2017

Brèves d’Europe fin janvier 2017

  Union européenne. C’est finalement l’Italien Antonio Tajani, 63 ans, qui a été élu président du Parlement européen, avec 351 voix sur 713 (contre 282 à son adversaire et 80 blancs ou nuls). Élu pour deux ans et demi, il remplace Martin Schulz, qui a renoncé à un troisième mandat pour tenter sa chance sur la scène politique allemande.

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11 janvier 2017

Vincent Peillon et les heures les plus sombres de l’Europe

Quoique ayant été ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon demeure manifestement un cancre doublé d’un fayot, fut-il docteur en philosophie. Invité la semaine dernière sur France 2, il commence par se plaindre du « traitement de faveur » que le service public réserverait à son adversaire de la primaire du Parti socialiste, Manuels Valls : « Oh le chouchou ! Oh le chouchou ! » Sale gosse…

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