Étiquette : Nicolas Bonnal

2 juillet 2018

Sanchez et le coup de Soros en Espagne

Il est à mon sens bien tôt pour affirmer que le système a perdu, que Poutine et Trump ont gagné, que l’Europe de Merkel et Macron est enterrée avec son culte du fric, sa théogonie du grand remplacement, sa tyrannie LGBTQ et son sadisme humanitaire.

Partager :
12 mai 2018

Face à l’addiction

Avec érudition et sérieux, Le Vigan brave les sentiers battus universitaires… Esprit prudent, mais prévoyant, notre ami polymathe Pierre Le Vigan avait écrit son petit essai universitaire sur l’addiction bien avant que le mot ne devînt trop à la mode. Les uns parlent d’addiction au sexe, d’autres aux drogues – vieux sujet fatigué des seventies –, d’autres enfin à la dette ou au pétrole, comme […]

Partager :
22 novembre 2017

Les acteurs américains travaillent-ils tous pour la CIA ?

  La réalité virtuelle dans laquelle nous sommes plongés est de plus en plus irréelle : quand un attentat a lieu, nous ne savons plus si c’est un film. Sur ces questions, relisez bien sûr Baudrillard et ses simulacres, qui servent de lecture de chevet à Néo dans Matrix (revoyez le film, vous verrez que son passeport était valide jusqu’au 11 septembre).

Partager :
17 novembre 2017

Virgile et le choc Orient-Occident

  Sommet de la littérature universelle, la description du bouclier dessiné par Vulcain comprend comme on sait, dans sa deuxième partie, une description de la bataille d’Actium. L’Énéide est ma lecture de chevet et je ne saurais trop recommander aux latinistes pas trop rouillés les nombreuses traductions juxtalinéaires de ce prodigieux texte (l’hypertexte louvaniste par exemple). Ici on est à la fin du chant VIII, vers […]

Partager :
15 novembre 2017

Va-t-on débaptiser le Prix et l’Académie Goncourt ?

  Un ilote du Figaro cite Les Buddenbrook de Thomas Mann comme livre sur le nazisme. Il a pourtant été écrit en 1900… Il est temps de remettre les andouilles du prix et du jury Goncourt à leur place. J’ai relu en bâillant les nombreux tomes du Journal des Goncourt, et j’ai trouvé ces perles d’un antisémitisme raffiné et répugnant !

Partager :
10 novembre 2017

Pourquoi Ibn Khaldun préfère les gens des campagnes à ceux des villes

Je n’ai aucune illusion sur notre civilisation bourgeoise et scientiste et moderniste et tout. Elle est déjà morte. Le salut ne sera que personnel et clanique. Voyons pourquoi maintenant, alors que l’urbanisation, le confort, les routines, l’abrutissement médiatique (neuf heures par jour en moyenne pour le citoyen US) nous ont tout retiré, forces, résistance, lucidité, humanité.

Partager :