Depuis 2012, les attentats des fous furieux du dénommé Allah se sont multipliés à rythme accéléré, devenant de plus en plus meurtriers. Avec des explosifs artisanaux ou volés dans les dépôts militaires (grâce à des complicités internes), avec des armes automatiques dont tous les voyous sont pourvus, ou par des moyens aussi rudimentaires, mais très efficaces, qu’un camion-bélier, les terroristes pulvérisent les records annuels de victimes.
Le trafic d’armes alimente le fanatisme politico-religieux et se nourrit du trafic de stupéfiants. Chacun sait ou devrait savoir que les preux chevaliers du sieur Allah sont de gros négociants de haschich et d’opiacés (appelés « larmes d’Allah » en Afghanistan).
Les complicités intérieures ne peuvent que se multiplier en Europe occidentale et scandinave où l’on accepte des islamiques dans les forces armées, la police, la gendarmerie ou le gardiennage de prison… et tout le monde se souvient (ou devrait le faire) d’une gendarmette française de souche permettant à son amant candidat terroriste d’accéder à un QG de la Gendarmerie nationale.
Pourquoi les terroristes se gêneraient-ils ? Ceux qui meurent en tuant de « l’infidèle » se croient assurés d’aller immédiatement au paradis de leur sanguinaire divinité. Ceux qui s’échappent sont assurés de n’être pas exécutés, puisque les mols Européens ont partout aboli la peine de mort.
Quant aux services de renseignements, on entend systématiquement leurs patrons se glorifier, lors d’un nouvel attentat, prétendant en avoir déjoué « plus d’une dizaine d’autres », ce qui fait une maigre consolation aux victimes estropiées à vie et aux familles des morts.
En supposant même que les porte-parole des barbouzes soient honnêtes, tout nouvel attentat témoigne d’une faute grave, voire d’une chaîne d’incompétences… un médecin a beau soigner parfaitement 999 malades curables, il n’en sera pas moins coupable si un millième patient atteint de maladie curable meurt prématurément, faute de diagnostic précoce et de mesure thérapeutique adéquate, et c’est justice.
Vivre hors des frontières de l’Europe permissive – celle où l’on accueille sans tri réel tous les immigrants venus de terres islamiques – ne met pas à l’abri des tueurs d’Allah. Brexit ou pas, les Britanniques en ont eu la preuve, sanglante autant qu’évidente, avec la tuerie de Manchester.
En outre, la honteuse collaboration avec le nouvel occupant n’est pas non plus un gage de sûreté. Avoir élu maire de Londres un mahométan à la femme voilée ne réduit nullement le risque… et c’est logique puisque le calife Abou Bakr II a changé les règles du Djihâd : un tueur d’Allah peut faire disparaître des Mahométans du monde des vivants, puisque la divinité est censée reconnaître les siens.
Stimulé par le pétrodollar, l’islam authentique – c’est-à-dire la religion violente où le Djihâd est exigé de tout mahométan en bonne santé – connaît une vigueur accrue et porte la guerre là où ne règne pas la charî’a, soit dans le Dâr al-Harb où précisément nous autres, Européens, vivons.
Dans une guerre, l’alternative est simple : ou l’on se bat, ou l’on se couche et on lèche les pieds de son maître. Depuis les années 1980, les Européens se vautrent dans la grotesque repentance coloniale, alimentent en devises les pays exportateurs de tueurs par un tourisme absurde autant que dangereux, accordent les droits civiques à une foule d’immigrants dont on ne sait rien, engagent une énorme 5e Colonne mahométane dans leurs prétendues forces de l’ordre et de la prévention, tolèrent viols, assassinats, vols et vandalisme, tout en finançant la consommation parasite d’immigrés-chômeurs.
On imagine facilement ce qu’aurait pu être la réaction de l’ultranationaliste Charles De Gaulle ou celle de l’égoïsme britannique incarné – Winston-Spencer Churchill – face à ce genre de situation récurrente. L’on ne sait, hélas ! que trop ce qu’est la réaction des mollassons d’Europe occidentale et scandinave, de nos jours : pleurs et gémissements, crises d’hystérie devant les caméras et dépôts d’une quantité impressionnante de fleurs… en plus des mensonges grotesques des « autorités musulmanes » implantées en Europe, des médias si complaisants au pouvoir économique, qui est le Mâle Dominant de notre triste État !
Face à la plus immonde barbarie et à l’obscurantisme religieux, les Européens réagissent en veaux et en vaches. Nous ne sommes que les descendants dégénérés, mous et aveulis des hommes de 14-18 et de 39-45.
Les terroristes, lâches et immondes, ne sont nullement des surhommes. Ce sont intellectuellement des sous-doués, qui vivent en plein Moyen Âge. Mais, en face d’eux, ils ne trouvent que les détritus de la décadence : nous !
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Ancien chef de service hospitalier, spécialisé en Médecine interne.Il est auteur de nombreux livres historiques (L’énigme Roosevelt, faux naïf et vrai machiavel ; La ténébreuse affaire Dreyfus ; Hitler, une biographie médicale et politique ; Dictionnaire de la Révolution française,…) et d'essais (Réflexions sur le Pouvoir. De Nietzsche à la Mondialisation ; Le XXIe siècle ou la tentation cosmopolite ; Le devoir d’insurrection,…). Il a été élu membre de l’Académie des Sciences de New York en mai 1980.