18 janvier 2021

Burqa et burkini, même combat : Le djihad culturel. Les redoutables mécanismes cachés de l’imposition de l’islamisation. Burqa et burkini, même combat : Le djihad culturel. Les redoutables mécanismes cachés de l’imposition de l’islamisation

Par article conseillé par EuroLibertés

Notre article présente une analyse des fondements qui se cachent derrière un « fait divers », analyse qui s’applique de manière générale à la stratégie de la politique du saucissonnage et des revendications musulmanes particulières, singulières mais constantes, permanentes selon une logique tout à fait consciente et délibérée du harcèlement et de ces rendements à moyen et long terme. Cette logique est évidemment toujours d’actualité et partout. Aujourd’hui avec la burqa et la votation populaire prochaine y relative du 7 mars 2021 en Suisse.
Pour le « fait divers » en 2016 qui a donné lieu à mon article (ici transcription libre et augmentée d’un Eclairage UW, 16 .8.2016) voir ci-dessous . Et l’on crée évidemment et délibérément le plus possible de ce genre de « fait divers » , constamment et partout:
« Privatisation d’un parc aquatique au nord de Marseille par une association musulmane qui voulait exceptionnellement faire accepter à titre privé le burkini.
Après maintes protestations, le patron du parc a retiré l’autorisation (source : Valeurs actuelles, 11-24 août 2016, article réservé aux abonnés) »

Les médias, enfin certains !, répercutent ce genre de revendications sans en chercher l’intention cachée et les politiques se déchirent entre droite et gauche sur le sujet. La droite proteste et parle de provocation dans le contexte de violence actuel lié au terrorisme, et dit que c’est conforter le communautarisme, une question de dignité de la femme, fini le vivre ensemble, place au vivre avec, etc …

Certains élus locaux socialistes, au contraire, apportent leur soutien en parlant de « hystérisation de la société sur l’islam », d’atteinte à la liberté de conscience, et posent des questions du genre : le bain habillé est-il contraire  à la loi en France ? Réponse : Non. Et d’affirmer : Privatiser un lieu est autorisé.

Un autre député PS  en rajoute : « C’est donc une polémique anti-musulmane de plus ».

Last but not least : un journaliste islamo-gauchiste, Claude Askolovitch,  reprend une rengaine bien connue des gauchistes, internationalistes, mondialistes, sans frontiéristes, etc. : « Français au hasard  de la naissance, les chasseurs de burkini, s’ils étaient nés iraniens, seraient de braves mollahs voileurs de femmes… »

En bref, un tel événement devient simplement une  nouvelle occasion d’un affrontement rituel entre gauche et droite, chacun est fier en pensant avoir définitivement mouché l’adversaire.

Or un tel événement est d’une gravité extrême et entièrement délibéré du côté musulman.

Ceux qui proposent de telles pratiques étrangères aux mœurs du pays d’immigration auquel ils veulent les imposer savent parfaitement ce qu’ils font, ce qu’ils vont provoquer et ce qu’ils en attendent, et les politiques se font avoir comme de grands naïfs, des idiots utiles et des irresponsables dangereux.

En voulant imposer leurs pratiques étrangères, ces musulmans veulent en fait délibérément provoquer le débat, l’opposition, la polémique, afin de pouvoir, dans un premier temps et à chaque pratique de ce type, crier au racisme et à l’islamophobie.

La réponse de l’association  au refus regrette : « un déferlement de haine raciste et une énième polémique islamophobe ». Dénoncer, diffamer, chercher à culpabiliser afin d’obtenir tôt ou tard ce qui est recherché. A force d’insister et de poursuivre avec la volonté d’imposer d’autres pratiques étrangères, on cherche à lasser les opposants, qui finiront, de guerre lasse et par lâcheté, par accepter, culpabilisés  qu’ils sont par les idiots utiles et autres islamo-gauchistes nationaux.

Insister, insister et insister encore, en devenant de plus en plus accusateurs et culpabilisants et de manière de plus en plus violente, sachant qu’ils finiront par trouver les alliés nécessaires, ils comptent sur le moyen et long terme, par exemple à l’occasion d’une élection qu’ils réussiront à faire  dépendre de leur soutien.

Mais même sans élection, l’insistance obsessionnelle,  culpabilisante, virulente et menaçante, finira par porter ses fruits.

C’est cette logique d’un comportement à étages multiples et à fin calculée, consciemment défini et appliqué avec soin et rigueur, qui est à l’œuvre dans ces pratiques dites communautaristes, dans ce djihad culturel.

La moindre victoire sur l’une des pratiques favorisera jusqu’à rendre évidente une suite infinie d’autres pratiques étrangères censées faire partie tout naturellement d’une nation devenue « aussi musulmane ».

L’islam est aujourd’hui une religion qui est partie intégrante des pays d’immigration, c’est évident, non ? Et n’est-il alors pas normal aussi de l’accepter dans sa totalité puisque nos sociétés sont devenues des sociétés multiculturelles tellement enrichissantes et dans lesquelles le fameux vivre ensemble, après quelques anicroches bénignes inévitables, ne posera bientôt plus de problème. Cette fois l’avenir sera vraiment radieux et d’une qualité encore jamais atteinte.

C’est le côté processuel, par étapes successives, de ces comportements que l’on ne veut pas comprendre et qui empêche de saisir le danger et la profondeur de la mise en cause des fondements mêmes de nos sociétés, de nos valeurs, de notre civilisation, civilisation qui n’a rien à voir avec une religion qui est en réalité un système idéologico-religieux global, un phénomène social, culturel, religieux et idéologique total, pouvant devenir totalitaire, que les anthropologues pourront maintenant ajouter à leur typologie.

Pour bien comprendre le processus mis en application pour imposer ces pratiques étrangères de type englobant, il faut le situer au niveau de la communication politique de l’ensemble de la société car c’est là que se joue l’impact sur  la société.

La communication politique est le processus d’affrontement entre acteurs opposés sur un thème donné par lequel se joue l’orientation générale d’une société. La communication politique est la lutte pour la définition d’un thème, d’un sujet  en débat dans la société, et le vainqueur de cette lutte sera celui qui réussira à imposer SA définition dans la lutte avec les autres définitions. Cela peut prendre parfois beaucoup de temps, surtout sur les sujets les plus chauds et disputés d’une société à un moment donné. Mais vainqueur il y aura.

Le fait que l’un des deux camps n’a pas, n’a plus, la volonté de lutter pour SA définition des pratiques sociales et sociétales acceptables facilitera évidemment la victoire de l’autre camp, surtout si dans l’un des deux camps il y a division interne, ou si l’on préfère une masse d’idiots utiles, voire de traîtres à leur propre culture, par fascination des autres cultures par exemple, même pour celles qui sont incompatibles .

C’est le cas lorsque le burkini ou la burqa par exemple, fait l’objet d’une « polémique politique stérile entre partis politiques opposés. »

Ce qui revient finalement à passer à côté des enjeux de société fondamentaux et à laisser le champ libre au vrai adversaire, pour ne pas dire à l’ennemi, puisque l’on dit  de plus en plus que nos sociétés sont en  guerre avec l’islamisme, voire avec l’islam.

Article publié sur le site Les.observateurs.ch.

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