On a conté qu’au vertueux magistrat gaulliste, qui s’indignait de ce qu’Arletty aurait eu des relations, non autorisées par la République, avec des officiers Allemands, l’artiste avait rétorqué : « Vous n’aviez qu’à pas les laisser rentrer ! »
L’histoire ne dit pas si le vertueux magistrat appartenait au clan de ceux qui, au début de la guerre, sabotaient notre armement pour favoriser l’invasion des nazis alliés aux Soviétiques. De Gaulle fit de bons républicains de ces traîtres patentés. Mais le mot d’Arletty me revient à l’esprit en entendant ceux qui ont appelé sur notre sol les coraniques, prétendre sécuriser ce qu’ils leur ont livré. Et je ne distingue pas dans cette affaire les gouapes républicaines des ganaches socialistes !
N’est-il pas plaisant par exemple de voir Monsieur Estrosi qui n’eut que des fleurs à la bouche envers la gauche niçoise qui lui fit la courte échelle électorale, s’en prendre après la tuerie prévisible, à l’incapacité (évidente !) d’un Cazeneuve, comme si le Parti socialiste, louable la veille, était devenu coupable du jour au lendemain ?
En fait, tous les « Allah Akbar » qui se prononcent et se prononceront sur nos victimes étaient induits aussi bien dans la politique dite aujourd’hui républicaine que dans celle socialiste. Tous les partis dits d’alternance ont voulu, encouragé, subventionné, et francisé les meurtriers potentiels. Nous en constatons les résultats. Moralité : Il ne fallait pas les laisser entrer !
On estime que la grande majorité des musulmans en France, ne sont pas radicalisés. C’est vrai. Mais c’est dire qu’ils sont de mauvais musulmans qui n’observent pas le Coran.
Deviendront-ils des apostats comme Giscard et Chirac qui communiaient ostensiblement pour s’attirer l’électorat catholique, dans le même temps où ils préparaient l’adoption du meurtre prénatal ? Je ne le pense pas.
Tout au contraire les imams sont là pour les rappeler à leur devoir qui est de tuer l’infidèle à l’occasion. Quant aux imams qui prétendent le contraire, ils sont encore en cela fidèles à leur religion qui permet de mentir à l’infidèle quand l’occasion n’est pas encore favorable à l’installation de la République islamique.
N’oublions pas que les derniers tueurs sont des « reconvertis » de fraîche date, et leur nombre est en relation avec le nombre de mosquées qui s’édifient avec la bienveillance des pouvoirs publics ! Et il n’y avait qu’une façon d’éviter cela : Il ne fallait pas les laisser entrer !
Les études sur le sujet indiquent qu’il pourrait y avoir de 15 à 25 % de musulmans convertibles au radicalisme. Prenons le chiffre le plus bas, et ensuite admettons que sur 8 millions de musulmans sur notre sol, seulement 3 millions peut-être sont adultes. Il y aurait donc 500 000 possibles djihadistes en France, alors que selon les dires officiels, 3 000 ou 4 000 seulement seraient fichés.
Pour l’instant, l’islam souhaite des martyrs, qui sont comme on le sait une semence de héros ! Le camionneur de Nice est de ceux-là. Il a tué pour la gloire d’Allah, même s’il a été un peu aidé dans son sacrifice par la perspective d’aller batifoler dans l’au-delà avec 70 vierges ! Mais cela n’est qu’un début, et n’a que peu de chose à voir avec la guerre révolutionnaire qui va prendre le relais, et dont je connais au moins les grandes lignes…
Elles correspondent à ceci : cent révolutionnaires peuvent, en une seule nuit, arrêter pour plusieurs jours tout le trafic ferroviaire du pays, et mille générer le chaos total, avec la destruction du réseau électrique, les coupures de route, et l’empoisonnement des points d’eau ! Et pour ne point se poser les problèmes d’une parade quasi-impossible, il n’y avait qu’une mesure à prendre : Il ne fallait pas les laisser entrer !
Si l’on en croit les médias, le dernier mahométan qui a tenté de punir au couteau une mère de famille et ses enfants impudiques, n’était point connu des services de police, et n’avait pas été instruit pas les imams. Cela prouve assez qu’il n’est pas nécessaire d’appartenir à un réseau ni d’avoir besoin d’instructeurs pour se « radicaliser ». Il suffit d’ouvrir le Coran pour se motiver dans le meurtre religieux.
Ceux qui voient dans le Coran un livre de paix et de concorde, qu’ils soient évêques ou francs-maçons, vertueux ou empapaoutés, sont de dangereux foutriquets.
Quant à la gueusaille laïciste qui déclare l’islam compatible avec les valeurs de la république, il faut comprendre que c’est de la république antichrétienne qu’il s’agit ; il y a une évidente parenté entre le rasoir guillotin et le coutelas hallal, et le premier acte de salubrité publique serait d’interdire les Coraniques sur notre territoire, et de n’accepter les étrangers qu’après serment civique de refuser formellement la Charia. Autrement dit : Il ne fallait pas les laisser entrer !
On vient d’apprendre qu’un policier qui a surpris et appréhendé deux individus en train de voler un véhicule, aurait aussi découvert qu’ils étaient chacun pourvu d’une carte bleue de « demandeurs d’asile », qui leur permettait de toucher 40 euros par jour. Je ne sais pas si c’est exact, car depuis De Gaulle, le mensonge politique passe pour une vertu. On a eu un démenti timide des Pouvoirs publics, indiquant d’autres conditions pour percevoir ces subsides ! Mais on sait que de l’aveu même de Daech, les « demandeurs d’asile » sont truffés de militants islamistes qui viennent vivre à nos dépens, avant d’attenter à nos vies. Les deux individus étaient deux Irakiens, qui ne se seraient découverts « demandeurs d’asile » qu’après l’assassinat de Saddam Hussein par le gouvernement que mirent en place les « libérateurs » américains. Les cartes bleues auraient été délivrées par la préfecture du Var qui n’a fait qu’obéir au gouvernement. C’est ainsi que nos socialistes combattent le terrorisme, en accordant aux coraniques de quoi subsister avec quelques larcins à l’appui.
À titre de comparaison, après une vie entière passée à cultiver mes terres, et à m’investir gratuitement dans des œuvres d’intérêt public, je perçois une pension de 830 euros par mois, et des veuves d’agriculteurs en perçoivent 600. Que faudrait-il faire pour que le sentiment d’être pillé par l’État au profit des coraniques, ne vienne pas troubler la si fragile paix civile ?
Il ne fallait pas les laisser entrer !
Or, on continue à les laisser entrer et l’on a même assoupli les processus de « francisation » pour qu’ils deviennent des électeurs pleins de reconnaissance ! Même après leur stage d’apprentissage meurtrier en Syrie, nos citoyens djihadistes reviennent chez nous, toucher l’impôt que les « dhimmis » socialistes s’empressent de leur verser. On a même signalé le cas d’un mutilé djihadiste, à qui l’État aurait accordé une pension d’invalidité, probablement au titre d’un accident du travail !
Nous sommes en présence d’une collusion étroite, ou d’une complicité avérée entre le régime et les envahisseurs ! Et que penser de cette information du Figaro relatant que la justice aurait demandé à la ville de Nice de ne point diffuser certaines scènes enregistrées par la vidéosurveillance ? Craint-on de démontrer l’incurie de l’État ? Car ce n’est pas seulement un Cazeneuve totalement inapte à sa fonction qui est en cause, c’est le régime lui-même breneux sous toutes les coutures !
Est-il possible de prendre Valls par ses cornes de bravache pour qu’il cesse de glorifier sa malfaisance en entretenant l’invasion ? Ou est donc la genèse de ce qui nous conduit tout droit à la guerre civile ?
Il ne fallait pas les laisser entrer !
Totalement dépassé par les évènements, le régime, pour se maintenir, en appelle à un « volontariat civique », alors que jusqu’ici la répression virile du banditisme ethnique était considérée comme une « bavure », un délit de sale gueule, un manque de professionnalisme de la part des policiers !
En fait, le régime tente de se doter de prétoriens supplémentaires, et il est à craindre qu’il ne se constitue une milice politique de protection. De Gaulle avait donné l’exemple. J’ai vu les orteils des partisans de l’Algérie Française écrasés par les coups de crosse des gardes mobiles. J’ai assisté à la joie des deux frères Venton, qui après avoir été reconnus non-coupables par des tribunaux peu enclins à la clémence, furent remis à la police gaullienne pour être rapatriés en Algérie : On devait les retrouver le surlendemain dans une fosse commune !
Peut-on ignorer que ce qui fut hier, sera peut-être demain la pratique du régime en métropole, grâce à de nouvelles barbouzes recrutées chez les coraniques ?
Non, il ne fallait pas les laisser rentrer !
Le directeur Général de la sécurité intérieure du territoire (DGSI) vient de faire connaître devant la commission des parlementaires chargés de la défense nationale, la véritable politique sécuritaire du régime.
« Les extrémismes montent partout, et nous sommes nous, services intérieurs, en train de déplacer les ressources pour nous intéresser à l’ultra-droite qui n’attend que la confrontation ! », a-t-il déclaré.
Soyons clairs : le « déplacement des ressources » signifie simplement que les moyens destinés à combattre le terrorisme seront désormais employés à déceler, combattre, et peut-être davantage, les nationalistes français !
Et pourtant ceux-là, de l’aveu même du directeur de DGSI, ne préparent pas la confrontation : ils l’attendent !
Et d’après un certain nombre de sondages, il se pourrait bien que la majorité du peuple français, estimant que « ça va péter », préfère l’exemple de Poitiers à celui d’Évian !
Le pape Pie XII avait parlé de cette échéance inévitable. Mais c’était une autre papauté que celle qui baise le Coran et qui lui trouve des vertus…
Cependant, les pires prophéties sont conditionnelles : Le retour à la sagesse peut déjouer la fatalité. Dans le cas présent, il convient de sortir au plus vite des affaires, ceux qui ont fait entrer chez nous la religion du racisme sexuel, de la négation scientifique, et de l’oppression des consciences. Car les complices de l’ennemi, sont pires que l’ennemi lui-même.
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Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.