26 septembre 2025

Les énormes contradictions et hypocrisies des instances officielles juives en France

Par Michel Festivi

Lorsque l’on veut lutter contre un ennemi qui souhaite votre mort ou votre destruction, il faut viser au cœur, et ne pas se tromper de cible et faire des amalgames spécieux voire hypocrites. Il s’agit d’y voir clair et ne pas se fourvoyer et égarer sa propre communauté. Or c’est exactement ce qui se passe actuellement avec la plupart des instances officielles juives en France, vis-à-vis de la montée inexorable de l’antisémitisme, directement et uniquement liée à l’islamisme galopant et à ses relais, l’ultra-gauche, l’extrême-gauche, LFI notamment.

Ces derniers jours, devant l’énorme prolifération d’actes antisémites de toutes natures, visant au quotidien les juifs vivant en France, les diverses autorités juives se sont répandues sur de nombreuses chaînes de télévision, pour, à juste titre, les dénoncer. C’est ainsi que l’on a pu entendre des rabbins, des membres du CRIF, du Consistoire, des Synagogues, se relayer pour sonner l’alerte. C’est très louable, à condition d’être cohérent, or ce n’est absolument pas le cas de la plupart de ces institutions et personnalités, qui continuent à assimiler dans un même opprobre falsificateur, LFI et le RN ou Reconquête.

On se souvient que toutes, je dis bien toutes les organisations juives de France, avaient appelé sans distinction aucune à faire barrage tant à LFI qu’au RN et aux « extrêmes », lors des élections législatives de juillet 2024, donc en réalité, implicitement à soutenir LFI. Gabriel Attal, Elisabeth Borne avaient été le fer de lance de cette propagande, relayée par toute la gauche, la macronie, les centristes, la plupart des LR et toutes les cliques des bien-pensants. On a vu ce qu’il en est advenu, jamais LFI n’eut un groupe aussi important, et le RN promis après le 1er tour à une majorité au moins relative, a dû en démordre en partie.

Au final, le résultat de cette tartuferie fut que l’antisémitisme s’est décuplé en France depuis comme jamais, tous les jours un ou plusieurs actes antisémites sont à déplorer. Seul Serge Klarsfeld, puis son fils Arnaud, eurent le courage de dénoncer cela et de dire clairement, qu’au deuxième tour, entre un LFI et un RN, ils voteraient RN. Ils furent insultés, même par des membres de leur propre communauté. Dès lors les gesticulations que l’on a pu voir sur les télévisions ce week-end, seront totalement vaines et mêmes singulièrement inefficaces, si elles continuent sur ces errements mortifères. Ne pas dénoncer le seul antisémitisme qui soit, c’est-à-dire celui de l’extrême gauche révolutionnaire française, en faisant de faux amalgames avec le RN ou les extrêmes « d’où qu’ils viennent », est une lâcheté, une hypocrisie infinie. Faire mordre la poussière à LFI et à tous ses soutiens d’où qu’ils viennent, par tous les moyens possibles, est capital.

Ces mêmes grandes consciences me font penser, mutatis mutandis, aux propos que tenaient les pacifistes bêlants des années 1970/1980, assimilant les USA et l’URSS dans une même confusion idéologique, alors que c’étaient clairement les chars du Pacte de Varsovie et les SS20 qui menaçaient nos pays et nos libertés, et que les goulags fleurissaient par milliers en Russie soviétique, encore à la fin des années 1980. Se tromper d’ennemi est la pire des choses qui soit, c’est être aveugle et sourd.

Mais au nom du politiquement correct et du pas d’amalgame, les instances officielles juives en France bernent leurs coreligionnaires et les Français. Néanmoins je pense que beaucoup de nos compatriotes de confession juive ou pas, ne se laissent pas mystifier par ces manœuvres politiciennes et misérables. Ne pas voir ce qui doit être vu et qui crève les yeux est une malédiction. Comme le disait Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit ». Ces lignes de Notre Jeunesse ont plus de cent ans, elles sont intemporelles. Puissent certains s’en rappeler et changer clairement de cap, puissent les Français l’avoir en permanence à l’esprit.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

2 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

Partager :