30 septembre 2023

Le syndicat de la magistrature : force de frappe de l’extrême gauche

Par Michel Festivi

Depuis qu’il existe, le syndicat de la magistrature a toujours soutenu les thèses les plus à gauche. L’un de ses fondateurs n’avait-il pas cru devoir asséner que les fondamentaux de ces « juges » rouge vif étaient de préférer et donc de favoriser le débiteur face au créancier, le locataire face au propriétaire, l’employé face à l’employeur, la femme face au mari, le délinquant face à la société et donc face à la victime, l’étranger face à la Nation, etc. faisant voler en éclat l’équilibre des plateaux de la balance judiciaire.

Le pire, c’est que tout cela était (est) enseigné à la fameuse École de la magistrature sise à Bordeaux. Sa suppression devrait être envisagée et demandée par les programmes des partis politiques sérieux.

Le fameux « mur des cons », dans un pays digne de ce nom, aurait dû générer des condamnations extrêmement sévères des responsables de ces insultes aux victimes ou à leurs familles. Mais non, la présidente du syndicat n’avait écopé que d’une peine des plus insignifiante. Il faut préciser que les victimes, les membres de ce syndicat s’en contrefichent.

Ce ramassis de gauchistes patentés, qui représentent entre un quart et un tiers des magistrats a une action totalement néfaste et est la négation même de l’idée de justice.

Hervé Lehman, qui fut juge d’instruction et aujourd’hui avocat, a commenté la présence du syndicat à la fête de l’Humanité. Il rappelle opportunément, qu’en France, les juges ne sont pas élus « ni responsables devant quiconque mais qu’ils ont simplement réussi un concours de droit, de telle sorte que leur seule légitimité est le respect de la loi votée par les représentants du peuple » (cf. sa tribune dans Le Figaro du 19 septembre 2023 titrée : « Fête de l’Huma : le Syndicat de la magistrature est devenu un parti politique »).

Le nœud du problème c’est qu’ils sont irresponsables et même de leurs fautes ou carences les plus graves. Il serait temps d’instituer une véritable responsabilité civile des juges dans le rendu de leurs décisions ou de leurs manquements, mais pas devant le Conseil supérieur de la Magistrature, qui a démontré qu’il est incapable de « juger les juges », devant une vraie juridiction indépendante composée de citoyens compétents par exemple.

L’élection des juges et procureurs par le peuple devient aussi une urgence absolue.

Hervé Lehman aurait également pu indiquer que les décisions de justice sont rendues « au nom du peuple français ». Comme il le souligne, les conventions internationales obligent tout État à faire assurer « un procès équitable ». À l’évidence, du fait de leur idéologie assumée et revendiquée, les « juges » du syndicat de la magistrature bafouent allègrement les conventions auxquelles ils sont si attachés par ailleurs.

C’est dans ce cadre, que notre « vaillant » garde des sceaux, Éric Dupond-Moretti, s’est fendu d’une diatribe éloquente à l’encontre du syndicat : « Depuis que je suis ministre, j’assiste, impuissant, à un certain nombre de dérapages… Le syndicat de la magistrature a pris fait et cause pour les émeutiers », et de rajouter : « le syndicat de la magistrature ce n’est pas la justice », et comme pour s’auto-rassurer « ni loin s’en faut, l’ensemble des magistrats » (cf. Le Figaro du 13 septembre). À noter qu’initialement l’article du Figaro titrait « Éric Dupond-Moretti fustige le syndicat de la magistrature », remplacé quelques heures plus tard par « Éric Dupond-Moretti excédé par la présence à la fête de l’Huma du syndicat de la magistrature » ! Le Figaro semble avoir aussi ses pudeurs de jeunes filles !

J’ai déjà souligné les propos roboratifs de notre fringant ministre de la Justice, qui n’emploie pas (plus) la langue de bois. Entonnerait-il son chant du cygne ? Il reconnaît d’ailleurs son « impuissance », les juges sont bien parvenus à être « un état dans l’état » (cf. Le gouvernement des juges, de Jacques Bompard aux éditions Godefroy de Bouillon, 2023).

En tout cas, lors de cette assemblée des gauches et des islamo-gauchistes, le SM va débattre des « violences policières » au seul bénéfice des délinquants n’en doutons pas. Les professionnels du droit noteront une corrélation active entre le très gauchiste et immigrationniste, syndicat des avocats de France, et le syndicat de la magistrature à cette fête de l’Huma où ils font cause commune.

Cette politisation gauchiste du syndicat de la magistrature est également dénoncée par l’Institut pour la Justice et par le syndicat Unité-SGP-Police-FO. N’oublions pas que le très controversé Médine sera aussi présent, ce qui ne semble gêner en rien le syndicat de la magistrature, tout à son islamo-gauchisme.

Imaginons un seul instant, je dis bien imaginons, qu’un syndicat de magistrats assiste ou participe à la fête de Reconquête ou à celle du Rassemblement National, je vous laisse deviner la suite.

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