16 janvier 1969 : le suicide de Jan Palach
Le 21 août 1968, il y aura 50 ans que les chars soviétiques, devenus le symbole de l’occupation communiste russe entraient de nouveau à Prague. Staline était mort, mais la dictature soviétique était encore là, impitoyable.
Déjà le 4 novembre 1956, la violence communiste avait démontré son penchant inné pour la mort des résistants, ces combattants de la liberté en Hongrie.
Aujourd’hui, un hors-série du Journal Le Monde tente, à travers les propos de Catherine Horel, une habituée de France Culture, historienne de l’Europe centrale, de salir Victor Orban en le soupçonnant de réécrire l’histoire de son pays en affirmant que 1956 ne serait qu’un épisode d’une longue histoire nationaliste que le catholicisme accompagne depuis la conversion à celui-ci par les grands aïeux.
Comment nier le droit au peuple hongrois d’écrire son histoire ! Comment nier que l’histoire de la Hongrie ne se découpe pas en fonction de ce qu’en pensent les gauchistes de tous bords !
La Hongrie a le droit de regarder son histoire, de l’accepter et de ne pas faire comme les gauchistes français de l’Éducation nationale de la réécrire ou d’en retirer des héros nationaux comme Charles Martel, Louis XIV, Napoléon et demain Charles De Gaulle !
Le PCF a d’ailleurs réécrit la sienne sur sa résistance, et a passé sous silence sa collaboration avec les Nazis jusqu’en juin 1941 ! Qu’en pense Le Monde ?
L’épisode de la dictature communiste sanguinaire est loin, et la Hongrie est et reste. Tous les grands chefs d’État dignes de ce nom ont accepté l’ensemble de l’histoire de leurs peuples ! Victor Orban a fait de même ! Le bon comme le mauvais d’ailleurs, en évitant absolument de tomber dans le piège de la repentance qui détruit à terme les Nations.
« Le suicide d’un jeune homme de 21 ans provoqua une vive émotion en Tchécoslovaquie, en Europe et dans le monde. Jan Palach ne sera pas le seul à mourir immolé pour protester contre l’occupation soviétique. Ni en Tchécoslovaquie, ni dans les autres pays du bloc communiste. »
Georges Marchais, en visite en Roumanie avec son ami dictateur Ceausescu a pu dire sans honte, que le bilan des dictatures communistes à l’Est était globalement positif !
Le communisme ne fut qu’un long chemin d’os broyés, de sang versé, d’assassinats, de camps de concentration et de déportation des peuples soumis.
Gracchus Babeuf, fils de cette révolution mortifère française de 1793, admirateur de Robespierre, fut l’inventeur de cette idée « communiste ». Il n’avait certainement pas imaginé les millions de morts que cette idée de la collectivisation, de l’égalité absolue, du partage de gré ou de force allait produire !
Combien de ces régimes ont-ils trouvé leurs origines dans la misère des peuples, la famine, les abus de pouvoir. Combien de morts dus au socialisme puis au communisme ?
Le 21 août 2018, il n’y a plus de Tchécoslovaquie. Chaque peuple a réparé les inepties des traités de l’après-guerre 1914-1918. Inepties qui apportèrent la IIe Guerre mondiale !
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