par François Marchand, romancier. S’il fallait démontrer qu’être de gauche, c’est encore pire qu’être de droite, les primaires auxquelles on vient d’assister en offriraient une preuve éclatante. Car même le type de droite le plus crevard n’aura jamais l’idée saugrenue d’aller voter aux Primaires de gauche, c’est-à-dire de signer un engagement à partager ses valeurs et de choisir avec une mine de chien battu entre […]
Le maire de Béziers Robert Ménard était l’invité de Salut les Terriens, émission animée par Thierry Ardisson… Il fut immédiatement l’objet d’attaques haineuses et quitta le plateau quand on le compara à « Adolf » en lui prédisant la même renommée… Thierry Ardisson voulut le rattraper, mais en vain, et se vengea en le traitant de « grosse tête de con » sur son téléphone… Message rendu public […]
Le système, cause de tous les maux, horreur absolue qu’il faut abattre, doit être amer et interrogatif sur l’ingratitude de ceux qui se sont prélassés dans son sein, quasiment dès leur naissance et qu’il a nourris toute leur vie. Un tel passé n’en fait guère les plus crédibles contempteurs ; sont-ils les mieux placés pour le détruire ? Tuer le père n’a jamais fait un bon fils.
« Félicitations. Quelle grande nouvelle. La démocratie est toujours en vie. » c’est par ces mots que Viktor Orbán, premier ministre de Hongrie, a salué sur Facebook l’élection de Donald Trump. De quoi inquiéter la presse libérale de gauche qui y voit une collusion internationale des populists, mais de quoi réjouir les médias conservateurs qui y voient une victoire sur les médias monolithiques de la gauche libérale.
Entretien avec Yannick Guibert, traducteur de Budapest 1956 : le cauchemar d’une nation, 2 tomes (Les Bouquins de Synthèse nationale). Propos recueillis par Fabrice Dutilleul. Que représente la Hongrie en Europe dans les années cinquante ? Ce pays s’étend sur 93 000 km2, soit à peine un cinquième de la France, au cœur de l’Europe. Dominée par une capitale surdimensionnée qui concentre près du quart de la population […]