17 septembre 2016

Bergoglio entre adoration ploutocratique et islamo-nihilisme

Par Nicolas Bonnal

 

J’ai déjà beaucoup dit sur Bergoglio, actuel Pape François. Mais comme il n’arrête pas de faire le bougre (pour parler comme Sade), je continue de dénoncer l’eschatologique pontife, le pontifiant imposteur, dussé-je être le seul en France.

Et je reprends le maestro Antonio Socci, qui fait un boulot merveilleux en Italie (traduit par Béatrice, du site Benoit-et-moi-2016) : « Désormais, le thème de l’émigration, pour lui, est quelque chose de plus qu’une obsession : c’est un dogme idéologique qui remplace les piliers bimillénaires de l’Église catholique. L’idée que la migration en elle-même est une tragédie qui doit être évitée (à la fois pour les pays d’origine, pour ceux qui les quittent, et pour les pays d’accueil) ne l’effleure pas. Tout comme il reste indifférent à la crise de notre statut social qui désormais n’est même plus en mesure de soutenir les couches les plus pauvres de la population italienne. Il est également indifférent à l’énorme problème représenté par l’immigration musulmane en Europe, qui s’avère inassimilable à nos valeurs et parfois perméable à la prédication violente ou terroriste. »

Socci souligne l’islamo-nihilisme de Bergoglio qui vire à la grande obsession : « Du reste, il a également par tous les moyens justifié et fait l’éloge de l’islam, déversant sur les catholiques (et l’Occident) une grêle continue d’accusations. Bergoglio semble poursuivre un projet nihiliste de destruction des identités des peuples et de l’Église elle-même, dans laquelle nous assistons depuis trois ans à un renversement radical de direction. »

Nous avons rappelé il y a peu que Georges Soros, gourou de la société ouverte (expression qui vient du médiocre Popper, mais surtout du beau-frère du grand maître de la Golden Dawn, j’ai nommé Bergson) finance le Pape.

Antonio Socci ajoute que Bergoglio est toujours dans le camp des oligarques de la haute technologie, ceux qui célèbrent le Burning man dans le désert hideux du Nevada et le transhumanisme entre deux scandales financiers et sexuels (voyez ceux qui frappent les amis du pape) : « Le pèlerinage de ces Picsou laïcistes chez Bergoglio est ininterrompu : le dernier en date était Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook. Le 22 janvier, c’était le tour de Tim Cook, le PDG d’Apple, qui a apporté à Bergoglio un gros chèque (pecunia non olet). Leonardo DiCaprio s’est présenté lui aussi le 28 janvier avec un chèque « pour les œuvres de bienfaisance ». Bergoglio avait également reçu le PDG de Google, Eric Schmidt, et – fin février – Kevin Systrom, fondateur et PDG d’Instagram. En revanche, le pape argentin a fermé la porte au nez des infortunés proches d’Asia Bibi, cette mère chrétienne condamnée à mort au Pakistan pour sa foi, quand ils sont venus en Europe pour demander aide et soutien (Bergoglio ne leur a accordé ni audience privée, ni appel public). C’est seulement pour les millionnaires et les VIP que sa porte est toujours grande ouverte. »

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Philippe Randa,
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