Fascination pour Chat GPT ?

La fascination du latin (fascinatio,- onis, enchantement, charme) est le fait d’être hypnotisé, être séduit par un objet ou une idée qui a un attrait irrésistible. Or, l’intelligence artificielle séduit, captive par ses performances presque infinies, mais ne risque-t-elle pas de devenir une boîte de Pandore ?

Cet attrait ne peut-il pas être un piège à plus ou moins long terme ? En effet, la fascination installe les sujets dans un état de passivité et d’incapacité réflexive avec des risques d’addictions.

Pourquoi ce risque d’addiction attribué à l’intelligence artificielle ? Parce qu’elle est une intelligence qui dépasse l’intelligence de tout humain. Elle est capable de résoudre des problèmes complexes, d’analyser des situations, de détecter de plus en plus précocement des maladies en un temps record. En effet, l’AI (intelligence artificielle) est susceptible de déceler les signes de maladies telles que la maladie d’Alzheimer. C’est un outil au service de la santé, de la technologie, mais aussi de l’astrophysique. Comme elle est incomparablement performante, on lui attribue toutes les vertus !

Chat GPT fonctionne en utilisant des algorithmes de traitement de données pour simuler la pensée humaine. Chat GPT peut converser dans plusieurs langues, y compris les principales langues européennes et asiatiques. Il est conçu pour s’adapter à diverses cultures et dialectes. C’est pourquoi, tout le monde loue Chat GPT, dans un premier temps.

Puisque l’IA simule la pensée humaine en produisant un texte, une image, en effectuant des recherches en un temps record. Et parce que ses bases de données sont organisées comme un réseau de neurones à l’image du cerveau humain. Plutôt que d’empiler des données, elles sont toutes reliées entre elles, comme les neurones humains. C’est grâce à ce système que l’IA peut produire des raisonnements et croiser des informations pour produire des textes et des images.

Mais ce n’est pas tout, des scientifiques ont demandé à Chat GPT de décrire les émotions que les humains peuvent ressentir dans diverses situations. Selon les résultats, l’IA a eu une meilleure note de performance que les spécialistes en psychologie.

Outre que l’IA puisse remplacer un jour, les journalistes, les professeurs, les métiers du Tertiaire et modifier en profondeur notre rapport au travail, elle risque aussi malheureusement de nous surprendre si elle était utilisée par des personnes peu scrupuleuses. Dans ce second cas, elle pourrait servir à des fins criminelles à la désinformation, au piratage des systèmes qu’elle contrôle.

L’IA pourrait également exercer du chantage à grande échelle en recueillant des données personnelles afin d’envoyer des messages de menace. Elle pourrait aussi écrire de fausses informations, pour répandre des propagandes et, pourquoi pas, provoquer un crash financier !

C’est pourquoi l’IA doit être un outil au service de la paix, du bien-être humain. Toutefois, ce robot dispose de garde-fous : à savoir que l’IA refuse de prononcer des discours de haine, de donner des conseils médicaux et d’intervenir dans une situation où une vie humaine est menacée.

En conséquence, l’IA doit être un moyen au service de l’humanité, et non la fin de l’humanité !

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