Étiquette : Fernand Braudel

5 novembre 2018

« Au nom du peuple français ! »

À un adolescent qui découvre qu’un jugement est rendu au nom du peuple français, j’explique l’origine de la formule et sa présence, depuis 1848, sur le sceau officiel de la République, le très symbolique « Grand Sceau de France ».

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23 mai 2017

Métaphysique de la mémoire

A l’occasion du quatrième anniversaire de la mort de Dominique Venner, nous publions l’éditorial du numéro 40 de La Nouvelle Revue d’Histoire paru en janvier 2009. C’est un texte fondamental intitulé « Métaphysique de la mémoire ». Au delà des vicissitudes de la vie politique, l’auteur nous appelle à « cultiver notre mémoire, la transmettre vivante à nos enfants et méditer sur les épreuves que l’histoire nous a […]

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5 mai 2017

Les migrations ne sont pas qu’un phénomène statistique

Dans un ouvrage paru en début d’année, intitulé Les véritables enjeux des migrations (Le Rocher, 2017), son auteur, Jean-Paul Gourévitch, expert devenu incontournable en la matière, affirme tenir pour « indiscutable », s’agissant de la France, « l’accroissement en valeur absolue et en pourcentage de la population d’origine étrangère » tout en relevant, d’une part, les marges d’erreurs des instituts officiels tels que l’INED ou l’INSEE, d’autre part, l’absence […]

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15 avril 2017

Pour une politique adossée à l’histoire des civilisations

La folle (et inintéressante) campagne électorale pour l’élection présidentielle française a laissé de côté un certain nombre de questions phénoménologiquement préjudiciables, occultations qui sont autant d’occasions pour le Système de mettre sous le boisseau des thématiques cruciales, de façon à ne pas exciter l’hydre de l’Herne « populiste ».

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29 mars 2017

Nos ancêtres les Gaulois ?

L’expression « nos ancêtres les Gaulois » décrit-elle une réalité, ou bien est-elle une simple façon de parler, un slogan, à la manière du « Madame Bovary, c’est moi » de Flaubert, ou du « Ich bin ein Berliner » du président Kennedy ?

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30 octobre 2016

Réminiscences

« Les désordres sociaux et politiques de ces populations les avaient tellement abruties qu’elles se voyaient sur le point d’être réduites en esclavage, mais ne s’en effrayaient pas. Les Barbares étaient déjà presque à leur vue sans qu’elles bougeassent, ni songeassent à se fortifier contre eux. Personne ne voulait périr et personne néanmoins ne cherchait les moyens de ne pas périr. Tout était dans une inaction, […]

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