1 juillet 2019
À l’écoute de Stendhal
Toutes choses égales par ailleurs, j’ai toujours préféré Henri Beyle à Stendhal son double. Allez donc savoir pourquoi. Peut-être parce que le premier était plus sincère et plus émouvant que le second, un tantinet prétentieux, soucieux de paraître autrement qu’il n’était, et surtout fort prudent dans ses rapports avec les autorités du moment. Ne suspendit-il pas la parution de son Lucien Leuwen, abandonné en l’état, au […]
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