Jacques Cauda, une madeleine de Rabelais sous un ciel triste qui pleure de joie
Par Philippe Pichon Une vie à l’écart, farouchement préservée sous pseudonyme, hors des circuits publicitaires, recluse presque ; une œuvre foisonnante, OObèse même, en marge, dure, folle d’ironie et d’angoisse, elliptique. Pas tout à fait tragique : une comilédie. Le Surréalisme aurait pu revendiquer cet écrivain tranchant si Cauda était né avec lui à la littérature. En Caudalie, exit la raison, out le mensonge vrai, l’auteur instaure […]
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