Quoique ayant été ministre de l’Éducation nationale, Vincent Peillon demeure manifestement un cancre doublé d’un fayot, fut-il docteur en philosophie. Invité la semaine dernière sur France 2, il commence par se plaindre du « traitement de faveur » que le service public réserverait à son adversaire de la primaire du Parti socialiste, Manuels Valls : « Oh le chouchou ! Oh le chouchou ! » Sale gosse…
Un rapport sénatorial fait état d’un fait que la ministre Najat Vallaud-Belkacem s’est bien gardée de diffuser : la démission massive des candidats au poste d’instituteur et de professeur. Que sont donc devenus les avantages de la fonction publique ? Ils auraient pourtant été bien au chaud dans cette carrière en cette période de chômage de masse… Les impétrants semblent préférer l’inconnu plutôt que l’enfer pédagogique. […]
À un extraterrestre qui se désespérait de l’aboulie de la classe politique, un parlementaire européen répondit qu’il ne voyait pas en quoi le cumul des mandats pouvait être associé à un appétit du pouvoir dès lors que, dans leur immense majorité, les citoyens refusaient de briguer le moindre mandat électoral, fût-il seulement associatif ou syndical. Réponse hors sujet, sauf que…