En lisant les propos de tel ou tel chef d’État ou de gouvernement occidental – et, pourquoi pas, ceux de notre toujours jeune et (redevenu) fringant Président –, l’on se pose inévitablement une question de fond : lequel de l’orateur ou des auditeurs est le mort-vivant, l’être sans volonté propre, le décérébré ?
De son vivant, Léon XIII est un peu entendu en Allemagne et en Autriche, en Belgique et aux Pays-Bas, et pratiquement pas en France. Les chefs des officines marxistes ont immédiatement perçu le risque, comme les adorateurs de Mammon. Il leur faut impérativement réduire l’influence du clergé catholique sur le bon peuple.
Si l’on considère les idées et leurs inspirateurs, on peut différencier trois grands groupes dans le milieu très disparate des écologistes : les mystiques (pas forcément délirants ; ce sont souvent d’authentiques savants), les complotistes (qui sont d’honnêtes gens, mais fort imaginatifs et méfiants) et les fumistes.
C’est bien connu : depuis la Loi de 1905 instaurant la séparation des Églises et de l’État, nos princes – le Président de la République, son Premier ministre et le titulaire de l’Intérieur et des Cultes – sont rigoureusement impartiaux dans leur attitude envers les religions, leurs clergés et leurs fidèles.
Il paraît que « l’on n’arrête pas le progrès ». En Europe actuelle, on n’arrête surtout pas la sottise crasse, le crime abject. En ce début d’avril 2019, de « réchauffement climatique » (si, si !), les carabiniers italiens de Turin viennent d’arrêter un « réfugié » marocain ou comme l’écrivent les journaleux italophones collaborationnistes de l’immigration extra-européenne, un « Italo-marocain » (comprenne qui pourra), qui avait assassiné un honnête Italien « parce qu’il avait […]