Sexe en Europe…
Plutôt que d’envoyer leurs fils défendre le pays au sein de l’armée, des familles afghanes aisées financièrement préfèrent les expédier en Europe.
En général, le fils le plus âgé est choisi pour cette coûteuse entreprise qui nécessite la rémunération de passeurs. Arrivé en Europe, l’individu est présenté en tant que « jeune réfugié non-accompagné. »
Pour ce type de personne, les règlements de Dublin, déterminant dans quel pays de l’Union Européenne les demandeurs d’asile doivent introduire leur demande, ne sont plus appliqués depuis longtemps.
Ces « jeunes réfugiés non-accompagnés » peuvent donc ainsi choisir la destination qui leur semble être la plus attractive. La demande d’asile est acceptée dans la plupart des cas, car il s’agit « d’enfants nécessitant une protection particulière. »
Cela ouvre la possibilité de regroupement familial parce que ces jeunes ont un « droit à avoir leur famille. »
En Autriche, une jeune étudiante de 21 ans a été violée dans les toilettes à Vienne, dans l’arrondissement de Leopoldstadt, par trois jeunes demandeurs d’asile afghans âgés de 16 ans à 17 ans. Un des individus a maintenu brutalement l’étudiante au sol pendant que les deux autres l’ont violée l’un après l’autre. Ils ont également frappé la tête de la fille violemment et à plusieurs reprises contre la cuvette du WC.
Vous avez aimé cet article ?
EuroLibertés n’est pas qu’un simple blog qui pourra se contenter ad vitam aeternam de bonnes volontés aussi dévouées soient elles… Sa promotion, son développement, sa gestion, les contacts avec les auteurs nécessitent une équipe de collaborateurs compétents et disponibles et donc des ressources financières, même si EuroLibertés n’a pas de vocation commerciale… C’est pourquoi, je lance un appel à nos lecteurs : NOUS AVONS BESOIN DE VOUS DÈS MAINTENANT car je doute que George Soros, David Rockefeller, la Carnegie Corporation, la Fondation Ford et autres Goldman-Sachs ne soient prêts à nous aider ; il faut dire qu’ils sont très sollicités par les medias institutionnels… et, comment dire, j’ai comme l’impression qu’EuroLibertés et eux, c’est assez incompatible !… En revanche, avec vous, chers lecteurs, je prends le pari contraire ! Trois solutions pour nous soutenir : cliquez ici.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.