Sacro-saintes, mais coûteuses vacances !
Avez-vous remarqué que si vous n’avez pas (encore) fait ce qu’on attend de vous, parce que vous êtes débordé, malade ou simplement fatigué, au mieux, on vous fusille du regard, au pire on vous insulte ; quoi qu’il en soit, vous n’échappez pas à quelques propos acerbes, sous-entendant votre paresse, votre incompétence ou votre mauvaise volonté.
Mais si vous rétorquez à votre interlocuteur que vous étiez en vacances… ou que vous « partez » en vacances, celui-ci ne bronche pas. Ne peut pas broncher. Sacro-saintes vacances ! Les remettre en question est aujourd’hui une incongruité qui ne viendrait guère à l’esprit d’une personne sensée.
Quel original pourrait bien s’en dispenser ? Impensable ! Quoique…
Selon une étude du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) « en 2014, seulement trois Français sur cinq ont déclaré être partis en vacances »… Des fous ? Non, des fauchés ! Et ça n’est pas amélioré, comme le confirme un article du Monde : « Les vacances, un loisir toujours inaccessible pour quatre Français sur dix. »
Et ce, malgré les aides en tous genres – Chèque-Vacances, aide de l’employeur ou de la caisse d’allocation familiale… – qui peuvent être apportées par un État toutefois de moins en moins providence !
Autrefois, la popularisation du camping a permis à ceux qui n’en avaient pas les moyens de partir envers et contre toutes les difficultés matérielles ; de nos jours, le coût des transports, ajoutés à celui des locations saisonnières et des rackets locaux pour vider au maximum la bourse des vacanciers, plombe singulièrement leurs loisirs, dont la durée se réduit comme peau de chagrin.
L’argent n’est plus seulement le nerf de la guerre, mais aussi celui des loisirs loin de chez soi… Que les malheureux privés de dolce vita estivale se console néanmoins avec ce qu’en pensait William Shakespeare (dans Henry IV) : « Si l’on passait l’année entière en vacances ; s’amuser serait aussi épuisant que travailler. »
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