L’inquiétant dérapage islamiste d’une école suédoise
La loi du plus fort étant toujours la meilleure, pourquoi certains musulmans se gêneraient-ils d’imposer leur religion aux autres ? Qui plus est à des enfants ! Qui plus est à l’école !
À l’école Söderfors, dans la ville de Tierp, au nord de Stockholm, un professeur a contraint sa classe à écrire : « J’appartiens à l’Islam. Je prie dans une mosquée. Je célèbre le Ramadan. Je lis le Coran. Le Ramadan dure 30 jours. Le Coran possède 114 sourates. »
L’ennui est que l’école n’étant pas (encore) confessionnelle, des parents ont été quelque peu choqués de la facétie…
C’est le site Les.Observateurs.ch, toujours bien informé, qui rapporte l’affaire : «Ma fille est chrétienne et a refusé d’écrire JE CROIS EN ALLAH. Mais elle a dû écrire qu’elle appartenait à l’Islam » s’est offusqué Evelina Wickman, une mère de famille qui a été déposé plainte à la police après avoir eu la confirmation par d’autres parents que sa fille ne délirait pas.
En France, heureusement, la neutralité obligatoire en matière de politique, de mœurs et de religion est sensé protéger de telles dérives nos chères têtes de plus en plus modérément blondes… jusqu’à quand ? Et est-ce vrai sur tout le territoire français ?
À l’heure où certains ministres, notamment l’actuel ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer envisage (déclaration en septembre 2018) de développer l’apprentissage des langues étrangères, dont l’arabe – même s’il n’évoque pas (encore) une quelconque obligation – et qu’un rapport de l’Institut Montaigne (groupe de réflexion libéral) intitulé « La fabrique de l’islamisme » préconise de « mobiliser le ministère de l’Éducation nationale (pour relancer) l’apprentissage de la langue arabe (tant) les cours d’arabes dans les mosquées sont devenus pour les islamistes le meilleur moyen d’attirer des jeunes dans leurs mosquées et écoles », est-il vraiment exagéré de penser qu’on s’achemine, doucement, mais sûrement, vers de telles dérives ? Et plus tôt que tard ?
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