21 septembre 2020

La petite reine fait son entrée triomphale !

Par Jill-Manon Bordellay

Démocratique ? écologique ? l’absolutisme revient en force avec la petite reine ! Elle s’impose partout, le supplice de sa roue est un fait manifeste !

Dans nos rues, sur les trottoirs, elle passe en tous sens, bousculant les passants, engendrant des accidents en nombre croissant. Les pompiers relèvent 40 pour cent d’accidents de la circulation en quelques mois dans la capitale. La petite reine ainsi que la trottinette sont des forces vives, des énergies humaines qui roulent sans casques, mal éclairées.

Les « une roue » ou les deux roues n’ont jamais tant envahi le macadam de nos grandes villes, peu soucieuses du Code de la route, elles passent en force dans les carrefours, négligeant les feux rouges et le Code de la route. La loi est pour elles. Elles se sentent en force et veulent même prendre encore du territoire.

La guerre est ouverte entre les deux roues et les quatre roues. En effet, les automobilistes n’ont plus la cote, ils polluent. Mais si les voitures polluent, pourtant les automobilistes n’ont pas d’autres recours que de choisir les quatre roues.

Certains travaillent et se déplacent avec du matériel, d’autres voyagent d’un point à l’autre, les suivants transportent plusieurs personnes. Pourquoi stigmatiser les automobilistes en leur laissant une portion congrue ? Le tapis rouge a été déroulé uniquement pour les deux roues, ils sont plus écologiques, ils ne polluent pas au moins !

Mais les automobilistes n’ont pas choisi de polluer, ils ont acheté une voiture pour se déplacer. Les constructeurs automobiles sont à vrai dire les seuls responsables, les grandes marques vendent des automobiles polluantes et le consommateur ne peut pas encore acheter un véhicule propre.

Alors les cyclistes montrent du doigt les automobilistes – qui ne sont que des utilisateurs malheureux et ne s’insurgent pas sur la cause, c’est-à-dire les fabricants des véhicules polluants.

Cette stigmatisation des voitures se traduit par des comportements d’incivilité. Les embouteillages augmentent du fait que les automobilistes ne peuvent rouler que sur des voies balisées. Un vrai challenge pour eux qui serpentent en slalomant à trente à l’heure et qui pour traverser un pont vont mettre 20 minutes. Les gaz s’accumulent, les vélos et scooters slaloment eux aussi mais à travers cette forêt de toits métalliques et l’oxygène de l’air se raréfie.

La petite reine a ses suivantes : le triporteur qui transporte deux enfants, la trottinette qui porte deux passagers, le gyroroue, le skatey balance, « le gyropode », ce nouveau char romain. Le monde perd ses roues.

Mais ne serait-il pas utile d’instaurer un nouveau Code de la route pour ces nouveaux modes de transports ? Ne faudrait-il pas des plaques d’immatriculation ? Une assurance tout risque ?

Lorsque l’on constate que de téméraires conducteurs ont des baladeurs et qu’ils chevauchent de la rue au trottoir à toute vitesse , faisant fi des passants, des personnes âgées, on redoute le pire !

Ne faudrait-il légiférer pour qu’il y ait moins d’accidents graves ? La petite reine, star de l’écologie dont le moteur est le muscle du cycliste a-t-elle encore de beaux jours devant elle ? L’hiver avec la pluie, la neige, le verglas, les deux roues risquent d’être encore davantage vulnérables.

Si au nom de l’écologie davantage de cyclistes occupent les hôpitaux, le compte n’est pas bon.

L’hippomobile avait son charme, celui d’une part d’être écologique mais aussi de pouvoir pacifier par la présence des chevaux, les rapports humains. L’animal en effet a une aura qu’aucun véhicule des temps modernes ne peut dépasser. Seulement les animaux ne sont pas nos esclaves et n’ont plus à transporter des charges. Alors des solutions sont à chercher pour circuler en toute sécurité et de façon non polluante.

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24  99

Partager :