Haro sur la migration !

La misère existe bel et bien ; on le sait déjà ; mais avant d’installer confortablement les migrants aux quatre coins des pays européens, il serait utile de se poser la question du comment résoudre la problématique de « NOS » sans domicile fixe, ceux qui étaient déjà à la rue bien avant que les flux migratoires ne nous inondent et qui, malheureusement, le resteront encore longtemps.

Les collectivités ont organisé la misère comme une véritable « infrasociété » dans la société (SAMU social, hébergement en foyer, bains douches, maraudes d’associations subventionnées) ; bref tout le confort quand vous êtes dehors !

Paris oublie son engagement pris en 2014 pour une échéance en 2020 : plus un seul SDF dans nos rues. Mais ça, c’était avant ! Pour information, Anne Hidalgo en avait fait « la grande cause » de sa mandature (1) : trouver un toit pour 4 000 sans – abris qui dorment dehors (il y avait à l’époque environ 30 000 personnes dans ce cas de précarité, voire en danger de mort !).

Alors où en est cet engagement concernant les 4 000 personnes à la rue ? Les socialistes parisiens leur préfèrent les migrants (qui, par ailleurs, dépouillent pour certains nos SDF en les volant dans la rue).

Indéniablement, les migrants sont prioritaires.

Récemment, la mairie du IVe arrondissement annonçait publiquement à ses administrés l’installation de migrants dans des locaux vacants de l’Hôtel-Dieu ; projet piloté par le Maire en personne et Martin Hirsch qui après avoir voté Hollande sera nommé au poste de Directeur général de l’AP-HP (assistance publique-hôpitaux de Paris). Un heureux hasard l’attendait ; le Conseil de surveillance est présidé par Ana Maria Hidalgo (la même !). Ils nous annonceront en chœur que des fonds seront versés pour la cause. On raconte même que des expulsions de Parisiens dans ce quartier continuent avec des pratiques douteuses (augmentation de charges, intimidation, suppression d’allocations logement…)

Idem pour le centre humanitaire de la Porte de la Chapelle qui accueillera 50 à 80 migrants par jour, peut-être plus ! D’autres hébergements chez les bailleurs sociaux s’organisent pour l’installation des migrants.

Les promesses tombent aux oubliettes…

Comme quoi, au fur et à mesure, les priorités changent au gré du désordre provoqué pour des intérêts bassement politiciens voire criminels voulant à tout prix créer des conflits entre les populations.

Nous nous savions déjà victimes, là on nous demande encore de nous taire, donc d’être complices.

Ne rien dire, ne rien voir, ne pas parler voilà ce que l’on propose aux Français nationaux. Eh bien NON ! Ne nous taisons pas !

Note

(1)https://www.franceinter.fr/societe/objectif-zero-sdf-dans-la-rue-a-paris-en-2020

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