Boomers ou GI : il faut choisir !
Patrick Poivre d’Arvor, Olivier Duhamel, l’indépendantiste martiniquais feu Marc Pulvar, Richard Berry… paraissent en difficulté du fait de leurs passés respectifs. Les faits reprochés sont graves et, s’ils sont avérés (ou plus exactement, si les preuves sont rapportées, ce qui n’est pas tout à fait la même chose), leur carrière est brisée. Inexorablement et impitoyablement. L’incompréhension, voire la tristesse, s’empare des rédactions.
Carrière ? Marc Pulvar est mort depuis 2008, ce qui permet à sa fille Audrey, qui s’occupe des questions agricoles dans la capitale (sic), de dire pis que pendre de son père, le qualifiant, sans jugement préalable, de « pédocriminel » et de « monstre ». La ficelle est un peu grosse, la tête de liste socialiste aux régionales en Île-de-France en juin prochain pratique la mauvaise foi avec aisance : aurait-elle eu les mêmes propos à l’égard d’un père encore vivant… Évidemment non, elle aurait prétexté la présomption d’innocence et l’absence de preuves, voire la stigmatisation d’un militant syndicaliste gauchiste, indépendantiste et… noir. J’imagine les titres de la presse antillaise : « Coupable parce que Noir ! ». Les élections régionales l’emportent sur la décence. Le respect familial n’est plus ce qu’il était, même en Martinique, la « familia » est de moins en moins « grande ».
Quant aux autres suspects, ils ont tous, au moins, 70 ans. Certes, ce n’est pas un âge canonique, même à l’ère de la Covid-19, mais pour ce qui concerne la « carrière », elle est derrière eux : les soirées mondaines, les petits fours sucrés et salés, les « 20 heures », les étés à Sanary autour d’une piscine chauffée au soleil méditerranéen, tout cela a forgé de beaux et, parfois, troublants souvenirs, sans doute remis en mémoire par des analyses psychiatriques longues et coûteuses de la part des prétendues victimes ? Entre Freud et Lacan, entre le lit familial et le divan, entre « drague » et « pression amicale »… De toute façon, tous ces faits (sauf certains qui concernent uniquement PPDA) sont prescrits. Ce ne serait alors pas un crime contre l’humanité que d’abuser des enfants, d’après le droit… Dont acte.
La carrière, leurs carrières, est terminée. Et alors, chez moi en Normandie, on entendrait, si l’on prêtait l’oreille au peuple des territoires oubliés, « Ils en ont bien profité ». Ben oui, ils en ont profité. Et donc ?
Je vous demande ici un peu d’attention pour établir cette transition vers les jeunes militants de Génération identitaire (GI) qui risquent, depuis 2012 et l’occupation (sic) du toit de la mosquée de Poitiers en construction (donc en chantier), à chacune de leurs actions, une mise en cause et une condamnation pénale.
Les moins sensibles d’entre vous diront qu’une condamnation pénale forge et forme le caractère. Peut-être, mais une condamnation devant un tribunal correctionnel (pour un délit) s’inscrit dans le casier judiciaire national et interdit, de fait ou de droit, l’exercice de certaines professions ou de certaines activités réglementées. Depuis près de 10 ans, les jeunes de GI prennent des risques en voulant défendre nos frontières des clandestins, des Alpes en 2018 aux Pyrénées, tout récemment. Alors, à 20 ans, avec un baccalauréat en poche et des études supérieures rendues plus complexes à cause des règles sanitaires imposées, un délit va vous marquer à vie. Lorsque ce délit sera effacé, par l’action du temps, de votre bulletin de casier judiciaire, il restera toujours et encore les réseaux « sociaux » (sic) pour le rappeler comme une imprescriptibilité intemporelle, comme une marque à vie apposée sur un individu. Un tatouage subi.
Entendre nos « boomers » pleurer et se lamenter sur le fait de ne pas avoir pu voir et admirer Richard Berry sur France 3 un soir de la semaine passée, en « prime time »… Les radios ont passé en boucle des téléspectateurs meurtris de ne pas avoir vu le père de Coline. Coline, elle, dit qu’elle l’a assez vu.
Entre des hommes dont la carrière est terminée avec des comptes en banque bien garnis et des biens immobiliers à travers le monde et des jeunes qui obèrent leur avenir en défendant les frontières de leur nation, il est temps de choisir.
Alors, laissons les psychiatres (puisque la justice est incompétente du fait de la prescription) régler les fins de carrières des puissants et passons à la défense de Génération identitaire. L’avenir est à ce prix.
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24 99