Les gauches ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît
Les gauches peuvent tout se permettre, même les pires ignominies en toute impunité, et en plus donner en permanence des leçons au monde entier. Bien sûr on le savait, ce n’est pas nouveau, mais l’actualité continue de nous fournir des exemples quotidiens.
Le dernier échantillon en date, c’est l’invitation du dénommé Médine, un rappeur, aux universités d’été de LFI et de EELV. Mais ce Médine n’est pas un gesticulateur ordinaire. Imaginons un seul instant, qu’un gigoteur ait demandé à son public de frapper un objet à l’effigie de J.-L. Mélenchon ou de Sandrine Rousseau, on aurait vu dans tous les grands médias une levée de boucliers. Cela s’appelle une piñata, jeu importé d’Amérique du Sud.
C’est ce qu’a entrepris Médine, mais contre les droites nationales et populaires bien sûr, en demandant à ses spectateurs de briser un objet à l’effigie d’élus locaux du RN, Edwige Diaz, Julie Rechagneux, ou encore de Geoffroy Gary de Reconquête. En brisant les têtes de plâtre de ses cibles, Médine s’était écrié « joyeuses Pâques », les faits s’étant passés à Agen, lors de la semaine Pascale.
Là encore, imaginons un seul instant la même scène, avec des portraits représentant des élus des Nupes par exemple, et le Médine de s’écrier « joyeux ramadan ». On devine par avance les cris d’orfraies qu’auraient relayés toute la classe politique, des LR à Renaissance, en passant par le Modem, l’UDI, et toutes les tendances de la gauche. Immédiatement, Médine, se serait retrouvé sur le banc d’infamie et privé de concerts ou de salles de spectacle. Mais ce qui est vrai dans un sens, n’est pas vrai dans l’autre.
Car comme de bien entendu, briser ou faire briser une tête représentant un membre du RN, cela n’a suscité aucune critique, aucune intervention, aucun rappel à l’ordre de quiconque. Comme l’a justement déclaré Alexandre Sabatou du RN : « le silence de nos adversaires politiques illustre à lui seul leur soumission ». Comme l’a indiqué Nicolas Bay de Reconquête : « le rappeur Médine nous avait habitués aux provocations et aux relations troubles avec la mouvance islamiste. Mais il semblerait qu’il se surpasse dans l’ignominie en appelant à la violence sans complexe envers des élus » (cf. Le Figaro du 12 avril 2023).
Car cette vengeance du dénommé Médine a une cause précise. Edwige Diaz et Julie Rechagneux avaient, le 3 avril 2023, refusé de voter une subvention régionale de 65 000 euros en faveur d’une salle de spectacle d’Agen, qui devait l’accueillir. Quand des élus avaient tenté d’obtenir l’annulation d’un concert de ce personnage à Albi, ce dernier avait publié une vidéo, où on le voyait lancer des fléchettes sur les photographies du maire de Lavaur, Bernard Carayon (LR), et du député du Tarn RN, Frédéric Cabrolier. On attend toujours les appels aux valeurs de la république de la macronie et des gauches.
C’est dans ce contexte de provocations permanentes que LFI et EELV vont le recevoir à leurs universités d’été fin août. Laurent Jacobelli, élu du RN, a qualifié cette attitude : « la gauche, c’est un naufrage aujourd’hui, c’est-à-dire qu’ils n’ont plus de repères, ils n’ont plus d’électeurs attitrés, donc ils sont prêts à racoler des électorats résiduels. » Et d’ajouter sur le plateau de LCI, « l’islamisme pour eux est une porte de sortie. ». Il a aussi tenu à souligner : « Recevoir quelqu’un qui prône le djihad, la fatwa, c’est très dangereux » (cf. Le Parisien du 10 août 2023).
Pas en reste, le PCF le recevra en septembre à sa fête de l’Humanité selon Le Figaro du 8 août.
Car ce vociférateur a souvent été taxé d’islamiste, d’antisémite, ce qui va très souvent ensemble. L’un de ses textes énonce : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha- traduisons les : restez dans vos quartiers, laissez-nous parler entre nous, de vous sans nous ». Même Catherine Fourest s’est sentie visée par ces appels à la violence et a ironisé : « voir les intégristes noyauter les Verts avec facilité et délices », ce à quoi la patronne des écolos-gauchistes Marine Tondelier a immédiatement répondu en qualifiant cette apostrophe de : « caricatures » (cf. Le Figaro du 10 août).
Là encore imaginons, je dis bien imaginons, une interjection proclamant : « Coupons les mains et les pieds des islamistes : traduisons-les : restez dans vos quartiers, laissez-nous parler entre nous, de vous sans nous ». On voit sans peine le scandale absolu que cela aurait provoqué sur toutes les chaînes de radio et de télévision.
Enfin, et tout dernièrement, Médine, vient de commettre une atrocité antisémite et vulgaire avec la publiciste Rachel Khan, l’affublant du terme : « resKhanpée ». Tondelier aux dernières nouvelles maintient son invitation défendant « son parcours intéressant » ! (cf. Le Figaro du 11 août 2023). Décidément les gauches sont toute honte bue, et tout leur est permis. Imaginons le même propos chez une personnalité de droite ! Ce jeu de mots antisémite n’a pas plus que cela traumatisé la classe politique, qui d’ordinaire s’offusque pour beaucoup moins.
Laurent Jacobelli, en réalité, se trompe sur un point. Les gauches ont des repères, tout ce qui peut attenter à la France et aux Français. Elles ont des électeurs attitrés en masse, dans les banlieues, les cités gangrenées par les trafics de drogue et les délinquances diverses et variées, les zones de non droit où prolifère l’islamisme, la ségrégation homme-femme, le règne des barbus et des Frères. Cela fait beaucoup, beaucoup de bulletins de vote. Les analyses du vote Mélenchon lors de la dernière campagne présidentielle sont édifiantes, comme celles des législatives qui ont suivi. Il s’agit d’accroître et de capter définitivement cette clientèle.
Sans un sursaut de tous, de tous ceux qui veulent s’opposer à cette mainmise islamogauchiste, les scores en faveur de LFI, des Nupes, ou de EELV deviendront encore plus importants. En tout cas, ces partis ne reculeront devant rien pour ramasser cet électorat anti-français, ségrégationniste et communautariste à souhait. Les droites molles et les centres amorphes en ne réagissant pas systématiquement et très vigoureusement font leur jeu, et c’est un jeu très dangereux.
Michel Festivi sera samedi au Puy-en-Velay
Samedi 9 septembre, à 17h, la librairie Arts Enracinés recevra notre collaborateur Michel Festivi pour une conférence sur la guerre d’Espagne et une signature de ses livres.
Michel Festivi présentera notamment les ouvrages suivants, édités chez Dualpha :
Les trahisons des gauches espagnoles
L’Espagne ensanglantée
Miguel Primo de Rivera
L’entrée est à 10 €.
Arts Enracinés 25 rue Raphaël 43 000 Le Puy-en-Velay – 06 32 25 93 59
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