20 décembre 2022

Clémentine Torquemada et ses « ex » !

Par Philippe Randa

Il y a tout de même des moments où l’on peut à l’évidence se prendre de compassion pour des gens dont on ne partage guère de valeurs ; voire même que l’on peut avoir combattu – politiquement s’entend – et toujours combattre… La passion politique, comme la valeur des âmes bien nées, ne craignant point le nombre des années pour cent fois sur la place publique combattre hier le dinosaure communiste, aujourd’hui ses héritiers.

Ainsi de Clémentine Autain, toute chamboulée à propos de la nouvelle direction de son parti La France Insoumise : « Nous avons un problème de démocratie dans la vie du mouvement », se plaint-elle.

Qui l’eût cru ? Pas de chance pour cette députée de Seine-Saint-Denis et ses plus tout à fait « amis », tous néanmoins autoproclamés propriétaires de la démocratie et bien peu enclins à en partager ne serait-ce que des miettes avec quiconque… même et surtout s’ils sont membres de la Nouvelle Union populaire écologique et sociale (NUPES), certes utile électoralement, mais bien encombrante le reste du temps.

Les contrariétés politiques sont comme les emmerdements, comme le disait l’ancien président Jacques Chirac, fin connaisseur de la question : elles volent en escadrille !

En effet, la nomination de son « ex » (ex-kamarad, cela va de soi ; on ose imaginer, même par taquineries, plus si affinités) Manuel Bompard à la direction de LFI n’est pas la seule contrariété de cette blonde descendante du sémillant Torquemada…

C’est le retour annoncé au sein du groupe LFI à l’Assemblée nationale d’un autre « ex » (ex-kamarad encore une fois, précisons-le) Adrien Quattenens qui la chagrine… Rappelons qu’il fut en quelque sorte « mis au coin » – soit prié d’aller se faire oublier quelque temps loin de l’hémicycle parlementaire – pour avoir eu la main un peu trop lourde sur la joue de son « ex »… épouse (quant à elle, plus du tout kamarad de son mari) !

Ce rouquin mâle n’aurait pas su, d’après Clémentine Autain, faire suffisamment « profil bas », allant même jusqu’à accuser sa future ex-moitié de développer un « sentiment de pleine puissance et de plein pouvoir, qu’elle serait incohérente » (une femme incohérente ? Allons bon !), qu’elle en aurait été menaçante… et qu’elle agirait pour de l’argent !

Pauvre Clémentine, obligée de le recadrer pour cette « communication (qui) sonne comme une provocation. Il a récusé méthodiquement tous les principes féministes. Il n’a tenu aucun compte du point d’équilibre trouvé démocratiquement au sein de notre groupe et des mots que nous avons posés. »

On conçoit le désarroi de cette moderne gorgone passée es-dominante maîtresse dans la dénonciation tous azimuts du machisme, du patriarcat et de la mâle domination qu’elle sait comme à nulle autre pareille déceler dans la simple intonation d’une déclaration…

Et pauvres Insoumis – d’une France bien éloignée de celle mère des arts, des armes et des lois, comme la louait jadis Joachim Du Bellay – qui se déchirent les uns les autres, sans doute victimes d’un Jupiter facétieux qui n’a pas grand mal à rendre zinzins ceux qui n’en finissent décidément pas de distraire la galerie politique souvent pour le pire… et parfois le rire !

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