La Hongrie, la Turquie, la Russie, Singapour, le Bélarus, voire peut-être bientôt la Pologne, seraient pour leurs détracteurs occidentaux des « démocratures », un mélange plus ou moins subtil de pratiques démocratiques et d’autoritarisme politique. Il serait plus juste de les qualifier de « démocraties illibérales ».
On laisse à Nicolas Boileau la responsabilité de ses édifiants propos en faveur de François Fillon (sur EuroLibertés le 27 novembre 2016). On pense ce qu’on veut du néo-FN (c’était quoi l’ancien FN ? Le point de détail et la nostalgie de la milice ?), mais le néo-FN ne se soumet pas à Castries et aux Bilderbergs. Le néo-FN ne menace pas le risque bénin en médecine […]
Dans un article de Dominique Moïsi dans Les Échos du lundi 12 décembre, nous pouvons constater qu’il a une opinion clairement anti-Russe et anti-Poutine. C’est donc bien dans toute la presse et classe politique de gauche et centriste, que cette quasi-haine de la Russie peut s’étaler sans que personne ne s’en offusque vraiment.