Pas de nouvelles négociations d’adhésion avec la Turquie
Pour le Vlaams Belang, il ne saurait être question d’une relance des négociations d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne. Le «sultan» Recep Tayyip Erdogan pense que le moment est venu, maintenant que la Turquie intensifie son rôle de médiateur dans le conflit entre la Russie et l’Ukraine, d’essayer de se faire accepter. Quel cynisme! En ce moment même, une «opération militaire spéciale» est également en cours en Turquie, où des civils kurdes sont massacrés.
La principale raison pour laquelle la Turquie ne devrait jamais être autorisée à rejoindre l’Union européenne est le fait indéniable que la Turquie n’est pas un pays européen. Le fait que la Turquie occupe actuellement la partie nord de Chypre, État membre souverain de l’UE, ne change rien à cela. Moins de 4% de la superficie totale du pays est située sur le continent européen. Et la Turquie est culturellement islamique, elle n’appartient donc certainement pas à l’Europe. Le seul morceau d’Europe qui se trouve en Turquie est l’ancienne Thrace, où se trouve Istanbul. Cette portion de territoire a été conquise par les Turcs de l’Empire byzantin en 1453, après quoi toute la population y a été massacrée, expulsée ou islamisée de force.
Même sur le plan socio-économique, le pays ne peut en aucun cas s’intégrer à l’Union européenne. Une telle adhésion déclencherait une gigantesque vague d’immigration, avec toutes les conséquences que cela comporte. Chaque Turc aurait alors le droit de s’installer dans l’Union européenne.
L’avis des peuples sur cette adhésion n’a bien sûr jamais été demandé. Les politiciens des partis traditionnels ont évité tout débat à ce sujet et ont toujours considéré l’adhésion de la Turquie comme un fait quasi accompli. Néanmoins, les négociations sur l’adhésion de la Turquie à l’UE, entamées en 2005, sont au point mort depuis des années en raison d’intenses tensions sur plusieurs fronts. Selon la Commission européenne, les chances d’adhésion en 2020 sont proches du zéro absolu. Très bien, ne changeons surtout rien.
Article paru sur le site du Vlaams Belang Bruxelles.
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