La responsable des droits de l’homme ukrainien prise la langue dans le pot de fake-news
La propagande de guerre est vieille comme l’humanité, quelle que soient les époques, les guerres, les belligérants…
L’actuelle guerre russo-ukrainienne n’échappe évidemment pas à la règle… avec néanmoins quelques « couacs », dont le scandale déclenché par la responsable des droits de l’homme ukrainien, Lyudmila Denisova, qui a reconnu avoir menti sur les crimes de l’armée russe pour persuader les pays occidentaux de soutenir son pays : « Lorsque j’ai pris la parole au Parlement italien, devant la commission des Affaires internationales, (…) j’ai parlé de choses terribles afin de les pousser, d’une certaine manière, à prendre des décisions dont l’Ukraine et le peuple ukrainien avaient besoin », a-t-elle finit par admettre.
Il est vrai que la dame avait poussé le délire assez loin en dénonçant des viols par des Russes sur enfants « dont certains n’avaient que 6 mois. »
Certes, la menteuse a depuis été renvoyé de son poste par le parlement ukrainien, la Verkhovna Rada… et Jean-Patrick Grumberg rapporte sur le site Dreuz.info que « la semaine dernière, des médias et des journalistes ukrainiens ont signé une lettre ouverte dans laquelle ils demandaient que les rapports concernant des viols et des agressions sexuelles par la Russie soient “publiés avec prudence”, en particulier lorsqu’ils concernent des enfants, selon une traduction anglaise de la lettre. »
Des Hulans d’outre-rhin, dénoncés en 14-18, comme coupeurs des bras des enfants à l’armée irakienne de Saddam Hussein accusée d’atrocités commises contre des nouveau-nés après son entrée au Koweït en 1990, on ne compte plus les mensonges et les manipulations, colportées avec gourmandise par nombre de médias peu enclins à vérifier sources et informations pour faire pleurer Margot.
Les aveux d’une Lyudmila Denisova, prise la langue dans le pot de fake-news les pousseront-ils à revoir leur conception bien particulière de la déontologie de leur profession ? Les paris sont ouverts…
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