Brèves d’Europe
Europe
UE. C’est donc Ursula von der Leyen qui aura la charge de négocier avec Donald Trump pour défendre nos intérêts. À Bruxelles, on est très dubitatif car la dame s’est montrée silencieuse quand Trump a déclaré vouloir annexé le Groenland et plus encore avec Elon Musk au sujet de sa plate-forme X. La pression est d’autant plus forte sur l’ex-ministre d’Angela Merkel qu’elle règne plus que jamais en hyperprésidente sur l’exécutif de l’UE. Et souvenons-nous qu’elle a engagé l’Europe a acheter du gaz liquéfié… aux Américains. Sans parler du Mercosur. À Bruxelles les avis sont partagés à l’égard de Trump. Selon un responsable, « les Allemands sont terrorisés », Meloni et Orban courtisent Trump, les autres ne voient pas de raison de s’énerver et espèrent toujours un retour à la rationalité à Washington.
Italie. L’Italie se prépare à renouer avec l’atome. Seul pays du G7 à ne pas avoir de centrale nucléaire en activité – la dernière a fermé en 1990 -, le gouvernement Meloni se prépare à mettre un terme à cette exception. Langue est prise avec le français EDF. « Scandale à Bruxelles », le contrôle du budget de la Commission Européenne révèle que cette dernière a financé des ONG dans le but de faire pression sur des eurodéputés afin qu’ils apportent leur soutien au Pacte Vert de l’ex-commissaire à l’Environnement Frans Timmermans (voté en avril 2023).
Allemagne. Le 23 février auront lieu des élections législatives et il y a de fortes chances pour qu’Olaf Scholz soit remplacé par Friedrich Merz, le leader des conservateurs allemands. Et marquer ainsi le retour de l’Allemagne à Bruxelles ont elle était quasi absente. Vive émoi dans le pays à la suite de l’attaque au couteau par un réfugié Afghan de 28 ans qui a poignardé deux personnes dont un enfant (2 ans) dans le parc d’Aschaffenbourg, dans le sud de l’Allemagne.
Lituanie. Le dirigeant centriste irlandais Micheal Martin a été élu jeudi 23 janvier premier ministre par le Parlement. Il prendra la tête d’un gouvernement de coalition dominé par les deux grands partis de centre droit.
Lituanie. Le président Gitanas Nauseda a annoncé que ce pays Balte allait conscrer de 5 à 6% de son PIB à la défense dès 2026 afin de prévenir une attaque des Russes !
Serbie. Les étudiants qui manifestaient contre la corruption ont appelé à la grève générale afin d’accentuer la pression sur le gouvernement. C’est l’effondrement de l’auvent en béton de la gare de Novi Sad qui a mis le feu aux poudres.
Suède. Le gouvernement de centre droit, soutenu par les Démocrates de Suède (droite patriote), a durci les règles migratoires depuis 2022. Récemment, les critères pour obtenir un permis de séjour temporaire se sont durcis. Le gouvernement envisage également de fortement augmenter l’aide au retour des migrants. Selon un sondage récent, la population veut réduire encore l’immigration.
International
Inde. New Delhi a commencé à réfléchir à des moyens d’importer plus de produits américains afin de réduire son excédent commercial avec les États-Unis. L’Inde a aussi montré qu’elle était ouverte au rapatriement des Indiens vivant illégalement aux Etats-Unis.
USA. Lundi 20/01 Donald Trump est devenu officiellement président des États-Unis. C’est le 47ème président de ce pays de satrapes. Avant de partir, Biden a gracié préventivement ceux contre lesquels Trump a prévu de se venger : Anthony Fauci (M. Covid de Biden), le général Milley (qui l’avait qualifié de dictateur en puissance) ou encore les parlementaires ayant participé à l’enquête contre l’assaut du Capitole. Sans compter son propre fils, impliqué dans des trafics divers et variés en Ukraine. Lors de cette cérémonie, Trump a invité toute la fine fleur des partis dits « populistes » – nationalistes en fait – comme le Hongrois Viktor Orban, l’Italienne Giorgia Meloni, l’Argentin Milei. Outre Anglais (Nigel Farage), Allemand (AfD), Belge, Espagnol mais aussi Eric Zemmour et Sarah Knafo et Marion Maréchal. Mais pas Marine Le Pen ! Dans le fatras de ses annonces, Donal Trump a peine assis dans son fauteuil de président a signé illico « 26 executives orders ». On retiendra ceci : « À partir d’aujourd’hui la politique officielle du gouvernement américain est qu’il n’existe que deux genres : mâle et femelle ». Poutine a déclaré la même chose. Avec sa politique étrangère disruptive, Donald Trump bat en brèche les coopérations internationales établies. Une opportunité pour la Chine qui cherche à s’affirmer comme un acteur responsable et une figure de stabilité. Trump vient effet de sortir de l’accord de Paris sur le climat et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Bon sens toujours. Donald Trump a commencé à défaire la politique de Joe Biden pour décarboner l’automobile. Dans son discours d’investiture, il a démoli la voiture électrique en ces termes : « Nous révoquerons le mandat sur les véhicules électriques sauvant ainsi l’industrie automobile (…) Vous pourrez acheter la voiture de votre choix. »
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