2 mars 2022

Brèves d’Europe

Par Patrick Parment

Union européenne. Tandis que l’Otan déploie davantage de forces sur ses confins orientaux, le quotidien allemand Der Spiegel a retrouvé un document indiquant que les pays occidentaux avaient promis en 1991 de ne pas accepter de nouveaux membres à l’est. Dont l’Ukraine.

Allemagne. La ministre écologiste des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, affiche sa fermeté face au Kremlin. « Ce n’est pas une crise ukrainienne, mais une crise russe », a-t-elle lâché à Munich lors d’une conférence annuelle sur la sécurité en Europe. Et de préciser que « toutes les sanctions sont sur la table, y compris Nord Stream 2 ».

Après une baisse constatée au plus fort de la pandémie de Covid-19, le nombre de réfugiés est à nouveau en hausse. La ville de Berlin a dû rouvrir un centre d’hébergement d’urgence, deux ans à peine après l’avoir fermé, sur le site de l’ancien aéroport de Tempelhof, lieu emblématique de la crise migratoire de 2015.

Olaf Scholz, le chancelier allemand, a donc décidé de suspendre la certification de Nord Stream 2, ce gazoduc flambant neuf devant acheminer le gaz russe en Allemagne.

Angleterre. La reine Elisabeth II résiste à tout : aux troubles familiaux d’une famille turbulente et même au Covid dont elle vient d’être contrôlée positive. Qu’à cela tienne, le Covid passe sur elle comme si de rien n’était. À 95 ans, en bon capitaine, elle tient le cap. Et Charles rame toujours !

Boris Johnson a confirmé la levée des dernières restrictions sanitaires encore en vigueur en Angleterre. Les personnes testées positives ne seront plus obligées de se mettre en quarantaine, le port du masque et les passeports vaccinaux sont abandonnés.

Chypre. Un accord vient d’être signé avec l’UE concernant l’accueil et la prise en charge des migrants arrivant sur l’île méditerranéenne, confrontée à un afflux massif de demandeurs d’asile. Accord qui permettra d’expulser plus facilement les personnes dont les demandes ont été rejetées.

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