Terrorisme islamique : l’actualité fait redécouvrir une évidence
C’est une jolie phrase, popularisée par l’un des plus grands succès romanesques de Somerset Maugham (Then and now de 1946) qui n’a pas cité sa source : un aphorisme de Jean-Baptiste Karr, contenu dans Les guêpes, un livre paru en 1849.
De fait, des années 1980 à nos jours, nos princes changent, la réalité demeure, ayant même tendance à s’aggraver. Il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne.
Et à chaque fois, l’on nous ressort la scie selon laquelle la religion du sieur Mahomet serait un enseignement de paix et d’amour, mal compris par des abrutis. Que les terroristes soient des individus stupides, en plus d’être lâches, tout le monde en convient. Mais sont-ils pour autant coupables d’une mauvaise interprétation du Coran ?
Les pitres du demi-monde de la politique bobo (droite molle, marécage centriste et pseudo-gauche), divers « intellectuels », quantité d’ulémas, d’imams et de mollahs proclament que « l’islam est une religion de paix » et qu’il ne faut pas commettre le nouveau « péché contre l’esprit », par définition, impardonnable : confondre le gentil mahométan et le djihadiste ou le « salafiste ».
Or, du muslim (fidèle en la langue du prophète) de base au recteur honoraire de grande mosquée, ceux qui osent s’exprimer ainsi profèrent un énorme mensonge. En effet, la lecture du Coran, censé avoir été dicté par l’ange Gabriel à Monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande. Pour qui a quelque peu fréquenté ce livre, issu du Haut Moyen Âge, et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour l’authentique muslim, la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre).
À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine – la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » –, la France est située dans la maison de la guerre sainte ou Djihâd. Seules les cités de non-droit font partie du Dâr al-Islam, où imams et trafiquants de drogues et d’armes s’opposent ou concluent des alliances selon les moments.
Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les peuples seront des fidèles de l’islam : c’est le fondement de cette religion. Les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence. L’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.
Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère – il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33. Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.
D’autres sourates sont déjà moins idylliques. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). La femme doit être totalement soumise à l’homme, obéir à toutes ses exigences (sourates 4, 33). L’homosexualité est considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent), ce qui est peut-être la stipulation la moins respectée des fidèles, si l’on considère le nombre de viols homosexuels dans notre beau pays. Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?
Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le Djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2). Certes, certains beaux esprits nous présentent ce Djihâd comme étant le combat que doit mener tout mahométan contre ses mauvais penchants… et ces beaux esprits se moquent du monde ! Ils omettent en effet de préciser que cette conception éthérée est celle des soufis, qui sont des hérétiques de l’islam sunnite et qui ont été longtemps persécutés, ne représentant qu’une secte d’illuminés parmi d’autres.
Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le Djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).
Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à deux ordres aussi formels que simples : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40) et « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée. « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9).
L’islam envisagé comme une religion d’amour mutuel n’est un concept exact – à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales – que pour les relations entre fidèles, au sein de la très théorique Oumma, et d’une façon aussi problématique dans son application que l’est la pratique de la charité par les chrétiens.
L’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal : la tête de la victime est tournée vers la direction supposée de La Mecque et l’égorgeur récite en principe des « paroles pieuses ». La seule innovation, brevetée « califat Daesh », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).
Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».
La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le Djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse, et l’on rappelle que seuls les naïfs diplomates de l’ONU peuvent imaginer que l’esclavage ait disparu des États de Charî’a.
En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. En revanche, il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, le Coran est devenu une arme de destruction massive.
Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés, publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette mansuétude sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?
Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des médias de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros, si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit, n’empêchent les émeutes, les incendies volontaires et les viols en tournante.
Depuis les années 1970, la France et d’autres pays européens ont recueilli un nombre effarant d’immigrés d’origine africaine et moyen-orientale qui sont des sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux. Les ministres européens, grands quémandeurs de prêts, voire de donations, auprès de potentats islamiques enrichis par les pétrodollars, multiplient les lois qui ne protègent plus les honnêtes citoyens, mais minimisent les peines des criminels immigrés.
Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté entre fidèles). Car, pour n’importe quel lecteur du Coran, un livre où le mot Amour est fort peu présent, il est évident que l’amalgame peut et doit être fait entre le muslim en bon état physique et le djihadiste : ce n’est pas une rêverie de « raciste », mais un constat d’évidence.
Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante et de prendre conscience d’un fait : les forces armées dites françaises renferment entre 15 et 20 % de mahométans selon les armes et les régions.
En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que les apparences du pouvoir en Europe occidentale et scandinave sont aux mains d’individus veules et laxistes, préoccupés d’échéances électorales pour conserver leurs sinécures dorées. Il est urgent qu’un authentique pouvoir, orienté vers le Bien commun, protège enfin les Européens de souche de la barbarie inutilement importée.
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