23 septembre 2023

La ruée vers l’or européen

Par Richard Dessens

L’immigration est devenue un sujet central en Europe depuis – seulement – quelques années, et enfle de plus en plus. Il est intéressant à cet égard de constater encore une fois que ceux qui alertaient depuis presque cinquante ans sur le phénomène migratoire et ses conséquences culturelles, identitaires et politiques, étaient alors traités de « fascistes » et étouffés sous la censure de la bien-pensance d’alors ; la même qu’aujourd’hui d’ailleurs. Le vieil adage qui proclame qu’il ne faut jamais avoir raison trop tôt s’applique à ce sujet vital pour les peuples européens.

Alors on discute, on palabre, on tergiverse, on commissionne et on sous-commissionne ; on débat à l’envi… sur un sujet que tout le monde connaît par cœur et dont on connaît depuis longtemps les solutions à y apporter, même si le temps perdu par les droits-de-l’hommistes et les cœurs généreux de la gauche à la droite, est désormais difficile voire impossible à rattraper. L’invasion lente, souterraine, puis débridée et parfois encouragée par les beaux esprits de nos élites, a fini par pénétrer une grande partie de la géographie européenne jusque dans les villages reculés. Monsieur Macron encourage d’ailleurs une repopulation rurale grâce à l’immigration : c’est son projet avéré. Bref, tous les moyens dilatoires sont employés pour repousser toute solution concrète, efficace et surtout vitale pour l’Europe.

Même si la comparaison est classique et tellement flagrante – mais malheureusement trop lointaine – on ne peut s’empêcher de retracer le processus de l’effondrement de Rome dans les mêmes conditions mais étalées sur deux siècles : les vagues successives d’invasions barbares, la résignation des Romains émasculés par leurs certitudes et leur confort facile, la victoire du christianisme qui avait détruit l’identité des Vieux Romains et diffusé la fraternité cosmopolite de leur religion. Comment ne pas faire un copier-coller sur les situations d’hier et d’aujourd’hui ? Il faut noter – ironie de l’Histoire – que l’un des derniers à avoir arrêté une invasion – les Huns – fut Aetius… un barbare romanisé ! Peut-être trouverons-nous le salut de l’Europe grâce à un Aetius moderne qui s’appellera Mohamed ou N’Diaye ?

L’Europe, pays de cocagne pour les immigrés est livrée à leur concupiscence entretenue par les associations « humanitaires », les partis politiques de l’extrême gauche à Macron – malgré ce qu’il en dit officiellement –, les chrétiens généreux, les médias, etc. Les élites européennes entretiennent jalousement la corde qui finira par pendre les peuples européens, résignés et assurés qu’« on ne peut rien faire »…de conforme au principe de l’« État de droit », des traités européens et internationaux, toutes armes d’un arsenal juridique à la disposition de nos frères immigrés ; en oubliant que ce que les peuples – ou leurs représentants légaux – ont bâti, ils peuvent le reconstruire. Le principe même du triomphe de la loi positive depuis le 19e siècle, est qu’elle peut être changée. Ce point est fondamental : on ne peut pas poser le principe de l’autonomie de la volonté en matière légale, à l’encontre d’une loi naturelle divine en vigueur dans l’ancien droit, et, en même temps poser que la loi moderne ne peut pas, à son tour, être modifiée et devenir une espèce de loi « divine » inamovible. Mais cela, qui est une règle fondamentale de notre droit, n’est jamais évoqué pour défendre la possibilité pour les peuples souverains de changer des lois injustes et surtout suicidaires. Lorsque l’État de Droit entraîne l’État d’Injustice et de destruction de l’identité des peuples, le droit à la résistance s’impose. Et légalement.

Mais tout cela est sans compter sur la cheffe du Politburo de l’UE, Madame Ursula Von der Leyen, rebaptisée présidente de la toute-puissante Commission européenne, représentante de l’idéologie dominante au pouvoir presque partout. Madame Von der Leyen approuve l’immigration car elle l’encourage par des mesures européennes qui empêchent toute décision d’arrêt de l’immigration. Ce qui fait dire au peuple qui vote qu’« on ne peut rien faire ». La loi est la loi gravée dans un marbre européen. CQFD.

Quiconque de sensé qualifiera cette attitude, celle de Madame Von der Leyen comme celle des électeurs européens, de suicidaire. Mais notre monde européen est manifestement devenu suicidaire par idéologie pour les uns quand les autres se comportent comme des moutons qu’on conduit à l’abattoir. Les dizaines de millions d’immigrés qui peuplent aujourd’hui l’Europe, la transforment et l’anesthésient dans la joie des plus beaux fleurons de la NUPES et la complicité de la macronie et des LR en France – mais c’est la même chose presque partout ailleurs en Europe – et sont aux portes du pouvoir politique généralisé. On en reparlera dans quelques années, lorsqu’on nous dira alors qu’il faut faire quelque chose alors que les mêmes avaient méprisé et extrémisé ceux qui alertaient sur les conséquences finales d’un flot migratoire massif. Comme il y a 50 ans pour l’immigration.

La ruée vers l’or européen fera alors qu’à l’inverse de l’alchimie médiévale qui transformait le plomb en or, l’or de nos modes de vie se transformera en plomb. Le phénomène est déjà bien engagé.

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