Haine du Blanc : demandez le programme Soros
Aux États-Unis, des affrontements embrasent nombre de grandes villes depuis la mort de l’afro-américain George Floyd durant son interpellation par des policiers blancs, le 25 mai dernier à Minneapolis (Minnesota).
« (Les) dégâts de ces derniers jours sont considérables (…) le quartier qui entoure le commissariat du 3e district, (a été) incendié par les émeutiers dans la nuit de jeudi à vendredi, en même temps que des commerces et des supermarchés alentours (…) Le magasin d’alcool Minehaha, situé de l’autre côté de la rue n’était plus qu’une carcasse noircie, le toit et le sol réduit à un amas de poutrelles calcinées. De l’autre côté du carrefour, le magasin d’équipement automobile Autozone, n’est plus qu’un monceau de tôles carbonisées (…) Devant l’hypermarché Target, mis à sac par les pillards, d’autres volontaires sortent les produits encore intacts des rayons inondés par les lances à incendie des pompiers. Ils alignent bocaux, sachets et boîtes de conserve le long du mur. Des gens viennent profiter de l’aubaine, remplissant des chariots entiers ou le coffre de leur voiture », rapporte Le Monde.
Ses actes desservent à l’évidence la cause de la victime autant que de la justice… mais outre les pillards, certains manifestants pourraient peut-être bien être davantage motivés par des raisons sonnantes et trébuchantes que par une quelconque empathie envers la victime et servir ainsi d’autres perspectives… politiques !
Le site de la réinformation LesObservateurs.ch nous rappelle ainsi la déclaration du milliardaire Georges Soros au journal allemand Bild en septembre 2014 : « Je vais faire tomber les États-Unis en finançant des groupes de haine noirs. Nous allons les faire tomber dans un piège mental et leur faire mettre les fautes sur les Blancs. La communauté noire est la plus facile à manipuler. »
Étrangement, cette déclaration n’a guère émue à l’époque les sourcilleux garde-chiourmes de l’anti-racisme : les races n’existent pas, c’est bien évident, mais tout de même ! pour cet éminent hérault du Mondialisme – et un peu manipulateurs sur les bords, non ? – tout est bon pour piéger… les Blancs… même la supposée bêtise des… Noirs !
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99