La France sera-t-elle, de nouveau, « la Chine de l’Europe » ?
En 1810, La France était, dit-on encore aujourd’hui, « la Chine de l’Europe ». Cela voulait dire qu’elle était le pays européen à la démographie la plus florissante (30 millions d’habitants contre 22 millions pour l’Allemagne).
Dans cette perspective, le pacte de l’Organisation des Nations Unies sur les migrations (qui s’est conclu entre le 10 et le 11 décembre à Marrakech) qu’a signé, sans sourciller, le secrétaire d’État aux Affaires étrangères Jean-Baptiste Lemoyne devrait réjouir nos concitoyens (cliquez ici).
En raison des prévisions alarmistes du Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (un réchauffement global de la Terre qui s’élèverait à plus de 1,5 °C provoquerait subitement la montée des océans et l’assèchement des continents de l’hémisphère sud), il faudrait bien accepter dans nos murs le flux massif de migrants africains.
En réalité, la cause écologique a bon dos : il est bel et bien question de promouvoir l’avènement d’un autre peuple, d’un peuple qui travaillera sans broncher pour pas cher et qui n’aura jamais l’idée de bloquer les ronds-points ou les péages pour un oui ou pour un non. Ce Pacte de Marrakech sonne définitivement le glas des velléités souverainistes françaises.
Un gouvernement mondial voit peu à peu le jour. L’ordre multiculturaliste, autant celui émanant de l’ONU que celui émanant des États-Unis d’Amérique, fait régner partout sa loi. Le nombre est une ombre indélébile, aussi bien dans l’activité spéculative que dans l’activité migratoire. Or, entre l’empire du chiffre et l’empire des signes, il n’y a qu’un pas.
En l’occurrence, la Chine comporte 56 ethnies et fait valoir davantage le droit du sang que celui du sol. Seul ce dernier est retenu en France au nom des Droits de l’homme. Le Président Macron continuera d’inclure dans nos frontières des nationalités aussi différentes les unes que les autres. La finalité de tout cela est funeste : la multiplication des emplois de service au détriment des postes d’enseignant-chercheur. La France est définitivement en voie de tiers-mondisation.
La récente contestation sociale 2.0 (celle des Gilets jaunes) donne l’occasion à Macron d’instaurer un régime autoritaire : un état d’urgence permanent par l’arrière, et non pas par l’avant. Macron incarne la raison par la ruse. Le serpent n’entre pas toujours par la porte principale, mais souvent par la sortie de secours. Un proche de l’Élysée avait dépeint, dans Le Monde du 10 novembre 2017, sa personnalité : « Il n’a pas de vie, pas d’affects, il considère qu’il ne doit rien à personne. Il n’y a que le travail comme à la Silicon Valley, c’est dry (« sec »), Me, myself and I (« moi, moi, moi »), et puis il a un tempérament en acier ».
Celui qui n’a été plébiscité que par 8 millions d’électeurs (à l’issue du premier tour de la Présidentielle de 2017) devait nécessairement affronter un problème de légitimité. Il lui fallait donc une loi pour nier toute vérité à l’égard de ses projets (loi contre les fake news). Le citoyen lambda ne se réduirait, d’un même geste, qu’à ses data et à un numéro fiscal. L’ordre numérique est celui de l’immatriculation systématique.
À coups d’algorithmes, la politique économique macronienne est d’inspiration hayekienne, autrement dit thactherienne : les inutiles doivent disparaître. Sur le plan géopolitique, les lobbies financiers et les lobbies numériques lui ordonnent d’être un Poutine à l’envers : imposer à son peuple une démocrature raisonnable. L’ère des data se construit ainsi sur la base du principe d’omnipotence de la surveillance.
À l’évidence, la France de Clovis est déjà supplantée par celle de la cyber-police. Une nouvelle Chine, mais sans autochtones.
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