Décidément, on ne s’ennuie jamais avec « The Donald » !
Depuis l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche, toutes les bonnes et moins bonnes manières diplomatiques sont mises à l’épreuve, quand elles ne sont pas tout simplement explosées !
Dernière preuve en date, l’affaire de l’ingérence russe dans l’élection présidentielle qui vit sa victoire contre sa rivale démocrate, malgré une farouche opposition d’une partie non négligeable de son propre camp républicain.
La victoire de « The Donald » n’en avait été que plus surprenante, mais où l’inimaginable l’emporte depuis lors sur l’extraordinaire, c’est bien avec ce harcèlement continu qu’il subit de la part des services secrets… de son propre pays !
Selon la Central Intelligence Agency, « des personnes proches du Kremlin auraient transmis à Wikileaks des milliers d’e-mails hackés du parti démocrate et du directeur de campagne d’Hillary Clinton »… Allons, bon, la belle affaire ! On ne peut évidemment que les croire car en ce qui concerne manipulation, intoxication et ingérence dans la politique intérieure d’un pays, ce n’est pas faire insulte aux plus célèbres des services secrets que de rappeler qu’ils sont passés maîtres en la matière…
Alors, quand les proches du président américains affirment que les enquêteurs de l’agence de renseignement « sont les mêmes que ceux qui disaient que Saddam Hussein disposait d’armes de destruction massive », on peut difficilement les contredire…
Et à l’occasion de sa rencontre avec Vladimir Poutine, Donald Trump a encore soufflé sur les braises de l’incendie diplomatique en fustigeant depuis l’Étranger – une première pour un chef d’État ! – la « stupidité » des services secrets de son pays qui seraient ainsi « les uniques responsables de la dégradation des relations américano-russes (qui n’auraient) jamais été aussi mauvaises »…
Et les médias mainstream de soutenir désormais sans honte cette CIA qu’ils ont tant décrié par le passé et ce, par simple haine pathologique de l’actuel locataire de la Maison Blanche ! Qui l’eût crû ?
Pour mieux comprendre « The Donald », lisez Donald Trump, le candidat du chaos de Nicolas Bonnal aux éditions ualpha (cliquez ici).
EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !
Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !
EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.
Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.
Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.
EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.
Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.
Quatre solutions pour nous soutenir :
1 : Faire un don par virement bancaire
Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP
2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)
Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés
à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France
4 : Faire un don par carte bancaire
Pour cela, téléphonez à Marie-France Marceau au 06 77 60 24 99