On ne dissout pas une idée, pas plus qu’un peuple
Il est facile de dissoudre un mouvement politique, de jeter l’opprobre sur ses membres ou de les condamner en justice. Par contre, dissoudre une idée est bien plus difficile, voire impossible. On peut interdire les personnes de parler d’une idée en public, on peut même interdire qu’ils en parlent en privé, il est toujours facile de trouver des petits kapos pour dénoncer. Mais il est impossible d’extraire une idée qui germine dans nos têtes.
Voilà qui est fait, Génération Identitaire, mouvement de droite radicale certes mais en aucun cas d’extrême-droite, ni fasciste, ni raciste comme on l’écrit dans certains journaux (Le Monde, Le Figaro, Libération et j’en passe), a été dissous par le Conseil des ministres. Leur crime ? Aimer leur patrie, leur identité, honorer leurs ancêtres et penser aux générations futures. Des jeunes courageux et droits dans leurs bottes, trop pour ce monde moderne si superficiel. Le gouvernement a eu peur… Et si les autres jeunes, transformés en moutons à travers des décennies de bourrage de crâne, de plaisirs immédiats, de « fast-food, porno et reality shows », décidaient de suivre les militants de Génération Identitaire ? Et si les jeunes redonnaient de l’importance à ce qui réellement importe, à savoir, la Famille, l’Honneur, le Travail bien fait, la Patrie, l’Identité, l’Histoire, la Beauté et l’esthétique, la Morale, l’Art, la Foi ? Catastrophe pour les puissants. Ils nous veulent endormis.
Alors que je regardais parler la jeune et courageuse Thais d’Escufon, j’ai eu un moment d’optimisme ! Je n’ai jamais appartenu à Génération Identitaire. Et pourtant je les admire. Même si je ne partage pas tous leurs points de vue à 100 %, je ne peux qu’admirer ces jeunes qui risquent leur futur professionnel, comme l’a très bien rappelé Franck Buleux (1).
Détruire sa carrière et son confort matériel pour sa Patrie, comment ne pas admirer cela ?
Il est vrai que demander à la plupart des jeunes de défendre leur identité, leur patrie, honorer leurs ancêtres et penser aux générations futures, devient très dur à partir du moment où ces mêmes jeunes sont déconnectés de leur identité, ne savent pas ce que le concept « Patrie » veut dire, ne connaissent pas l’histoire de France…
Quant à penser aux générations futures, c’est un exercice quasiment impossible ou bien trop étrange pour une partie de la jeunesse qui ne souhaite pas avoir d’enfants, bercée dans l’égoïsme des sociétés hyper-individualistes. Après moi le déluge. Pourtant… pourtant depuis quelques jours il y a comme un changement au sein d’une partie de l’opinion publique. Sur les réseaux sociaux, sur les sites des principaux journaux, ceux qui défendent Génération Identitaire sont bien plus nombreux qu’on ne pourrait le penser. Même à la télévision, vous avez des intellectuels et des journalistes qui critiquent la dissolution, tel Éric Brunet sur LCI. (2)
Est-ce le début de quelque chose ? Je ne sais pas, mais une chose est sûre, si le gouvernement a bel et bien dissous Génération Identitaire, il n’a pas l’air d’avoir compris qu’il vient de montrer à des millions de Français l’existence de ces jeunes qui démontrent qu’une autre existence est possible, une existence en communion avec son passé tout en pensant au futur. Cette idée, d’amour et de communion avec son identité va grandir peu à peu. Et une idée, que Darmanin le veuille ou non, est impossible à dissoudre. Honneur à ces jeunes, et surtout à Thais d’Escufon, authentique Cœur Rebelle.
Notes
(1) Franck Buleux, Boomers ou GI : il faut choisir ! lien : https://eurolibertes.com/societe/boomers-ou-gi-il-faut-choisir/
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