Qu’on le veuille ou non, nous sommes en période préélectorale. De ce fait, moins de dix jours après la nouvelle tuerie islamique, celle de Nice, une obscure « secrétairesse » d’État annonce le déblocage imminent des fonds pour indemniser les victimes du dernier attentat. Et cela pose deux séries de questions.
L’arrivée massive de migrants en provenance de pays musulmans menace l’égalité homme femme qui constitue le fondement de la société suédoise. Les attaques sexuelles commises récemment lors de festivals de musique conduisent à un débat à propos de l’instauration, lors de ces événements, de zones réservées aux femmes.
Alors que les agressions sexuelles commises par des migrants se poursuivent à travers l’Allemagne, une dame révèle devant une commission d’enquête qu’au moins un viol par pénétration sexuelle a eu lieu lors des événements du Nouvel An qui se sont déroulés devant la gare et la cathédrale de Cologne.
Agnès Saal est cette présidente de l’Institut national de l’audiovisuel (INA) qui dépensa aux frais du contribuable 40 915 euros de frais de taxi en dix mois (6 700 par son fils)… alors qu’elle avait clamé haut et fort, lors de sa prise de fonction, qu’elle entendait avoir une gestion « janséniste » (tout comme Jérôme Cahuzac qui osa vilipender les fraudeurs fiscaux lorsqu’il fut nommé Ministre du Budget).
