Le pape François et sa défense obstinée de l’Islam
L’écrivain et journaliste italien Antonio Socci, une nouvelle fois se défoule sur le feint père chouchou des médias et des cathos demeurés et « rassurés par la bêtise » (Houellebecq).
Socci : « Finalement il a dû parler. Se trouvant sur le vol pour Cracovie, devant des journalistes, Bergoglio a dû répondre à une question sur le père Jacques, le prêtre français égorgé sur l’autel. Et encore une fois, ce qu’il a dit a vraiment de quoi vous faire tomber les bras… »
Rappelons que François est le premier pape ordonné prêtre après le concile de Vatican II – ce qui promet pour la suite…
Socci : « Il est désolant de constater une telle superficialité et une défense si obstinée de l’Islam, lui qui est toujours féroce quand il doit attaquer l’église et les chrétiens. Surtout, son impréparation et sa misère culturelle ressortent de façon déconcertante dans ces occasions… »
Mais non, la preuve. Car ce pape, mué en La Palice, en rajoute : « Le monde est en guerre, une guerre en morceaux. Il y a eu celle de 1914, avec ses méthodes, puis celle de 1939-1945 et maintenant celle-là… Le monde est en guerre parce qu’il a perdu la paix. »
Il adore son islam conquérant.
Socci : « Mais à la fin, il prononce toujours la phrase avec laquelle il fait comprendre sa véritable intention, ce qu’il veut absolument dire. Dans ce cas, il voulait défendre l’Islam, il voulait soutenir (avec le plus grand mépris du ridicule) que l’islam n’a rien à voir avec ce qui se passe. »
Le pape explique : « Je voudrais dire un seul mot, pour clarifier : quand je parle de guerre, je parle de guerre sérieusement, pas de guerre de religion. Je parle de guerres d’intérêts, pour de l’argent, pour les ressources de la nature, pour la domination des peuples. »
Socci commente : « L’insanité dite par Bergoglio provient d’une sous-culture marxiste (celle qui circule dans l’église sud-américaine dévastée) qui réduit tout à l’économie comme moteur de l’histoire. Ignorant d’histoire (en plus que de théologie), Bergoglio ne voit pas d’autres motivations des actions humaines que l’économie. Il est stupéfiant qu’un pape ne sache pas que le plus fort moteur de l’histoire est spirituel. On en vient même à se demander quelle conception il a de l’homme. »
Écoutons le phénomène : « Je ne parle pas de guerre de religion. Les religions, toutes les religions, veulent la paix. »
L’infatigable ajoute : « La guerre, ce sont les autres qui la veulent. Compris ? »
L’autre ? Pas nous alors ?
On laisse conclure le Père Jésuite Samir Khalil Samir : « Si l’on continue à dire que « l’Islam est une religion de paix », on crée seulement confusion et mystification. »
Céline a dit sur la médiocrité des temps : « Une telle connerie dépasse l’homme. Une hébétude si fantastique démasque un instinct de mort, une pesanteur au charnier, une perversion mutilante que rien ne saurait expliquer sinon que les temps sont venus, que le Diable nous appréhende, que le Destin s’accomplit. »
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Philippe Randa,
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