De quoi serait mort Ludwig van Beethoven (1770-1827) ?

Ce compositeur génial a passé toute sa vie  affaibli par plusieurs maladies très invalidantes, celle de la surdité est sans doute la pire pour le musicien qu’il était. Il est atteint de surdité dès l’âge de 27 ans pour finalement être sourd à l’âge de 48 ans, ce qu’il l’oblige assis par terre face à un piano sans pied de ressentir les vibrations de la musique sur le sol.

Ludwig van Beethoven est décédé le 26 mars 1827 à l’âge de 56 ans à Vienne. Concernant la cause exacte de sa mort, les scientifiques n’ont jamais été d’accord, sans doute parce que plusieurs maladies pouvaient l’atteindre et engendrer la confusion.

Aujourd’hui avec la recherche génétique, il semblerait que l’on puisse percer le mystère de son décès !

Il semblerait que la mort de Beethoven aurait pu être causée par plusieurs facteurs : un risque héréditaire, une infection du virus de l’hépatite B et surtout une importante consommation d’alcool, mais encore une exposition au plomb.

Au seuil de la mort, alors qu’il est dans un état physique déplorable – douleurs abdominales, jaunisse, oedème des jambes –, il ne voit qu’un seul remède à ses maux, boire du vin ou du champagne : “Comment pourrai-je assez vous remercier pour ce champagne excellent, comme il m’a restauré et comme il va me restaurer encore !” s’exclame -t-il.

À l’appui du rapport de son autopsie, de sa correspondance, des écrits de ses amis, de ses médecins, on a cru que Beethoven avait eu la syphilis, la tuberculose, la maladie de Paget qui remodèle les os et qui aurait été responsable de sa surdité. Mais c’est aussi l’hypothèse de la cirrhose du foie due à l’alcoolisme qui a été privilégiée et qui serait expliquée par la taille du foie réduite de moitié ainsi que la cavité abdominale remplie de liquide rougeâtre au moment de l’autopsie. Cette cirrhose aurait été renforcée par  des prédispositions génétiques aux maladies du foie. Il aurait  contracté une hépatite B avant sa mort.

L’incertitude persiste toutefois sur la cause exacte et on peut se poser encore la question 196 ans après son décès : mais de quoi finalement l’auteur de La 9e symphonie et de l’Hymne à la joie serait-il mort ?

Intoxication au plomb, cirrhose du foie , hépatite B ? Des biographes médicaux proposent de nombreuses hypothèses, dont beaucoup de maladies essentiellement héréditaires. C’est pourquoi des chercheurs ont réalisé une analyse génétique sur les mèches de cheveux de Beethoven.

Pour le savoir, une équipe internationale a commencé des recherches en 2014 pour examiner  son ADN. Elle a utilisé plusieurs mèches de cheveux car le cimetière central de Vienne avait refusé d’exhumer le corps.

Alors d’où venaient les cheveux ?

À l’époque, les gens aimaient offrir des mèches de cheveux en cadeaux d’amitié. Au moment de la mise en bière, plusieurs fans du compositeur auraient  coupé ses mèches. Des chercheurs ont pu alors  travailler sur  5 mèches  afin de définir la maladie qui aurait pu emporter l’artiste .

Si bien qu’ une étude de l’Université de Cambridge en Grande-Bretagne renonce à l’hypothèse de la cirrhose,  même si le musicien était très  dépendant de l’alcool.    Ces chercheurs ont découvert de nouveaux éléments penchant plutôt  vers une maladie infectieuse, c’est-à-dire par le virus de l’hépatite B  qui aurait contribué à sa mort.

Pourtant une autre étude, cette fois viennoise, ne confirme pas ce résultat et  atteste que le docteur Andreas Wawruch aurait sans le faire exprès empoisonné le compositeur en appliquant des pansements enduit de sel de plomb, une technique courante à l’époque, mais comme Beethoven était très affaibli par la cirrhose du foie, l’exposition au plomb lui  aurait été fatale.

Alors les recherches bien que génétiques ne donnent toujours pas avec certitude la cause de la mort du grand compositeur ! Faut-il attendre encore d’autres études pour le savoir ?

EuroLibertés : toujours mieux vous ré-informer … GRÂCE À VOUS !

Ne financez pas le système ! Financez EuroLibertés !

EuroLibertés ré-informe parce qu’EuroLibertés est un média qui ne dépend ni du Système, ni des banques, ni des lobbies et qui est dégagé de tout politiquement correct.

Fort d’une audience grandissante avec 60 000 visiteurs uniques par mois, EuroLibertés est un acteur incontournable de dissection des politiques européennes menées dans les États européens membres ou non de l’Union européenne.

Ne bénéficiant d’aucune subvention, à la différence des médias du système, et intégralement animé par des bénévoles, EuroLibertés a néanmoins un coût qui englobe les frais de création et d’administration du site, les mailings de promotion et enfin les déplacements indispensables pour la réalisation d’interviews.

EuroLibertés est un organe de presse d’intérêt général. Chaque don ouvre droit à une déduction fiscale à hauteur de 66 %. À titre d’exemple, un don de 100 euros offre une déduction fiscale de 66 euros. Ainsi, votre don ne vous coûte en réalité que 34 euros.

Philippe Randa,
Directeur d’EuroLibertés.

Quatre solutions pour nous soutenir :

1 : Faire un don par virement bancaire

Titulaire du compte (Account Owner) : EURO LIBERTES
Domiciliation : CIC FOUESNANT
IBAN (International Bank Account Number) :
FR76 3004 7140 6700 0202 0390 185
BIC (Bank Identifier Code) : CMCIFRPP

2 : Faire un don par paypal (paiement sécurisé SSL)

Sur le site EuroLibertés (www.eurolibertes.com), en cliquant, vous serez alors redirigé vers le site de paiement en ligne PayPal. Transaction 100 % sécurisée.
 

3 : Faire un don par chèque bancaire à l’ordre d’EuroLibertés

à retourner à : EuroLibertés
BP 400 35 – 94271 Le Kremlin-Bicêtre cedex – France

4 : Faire un don par carte bancaire

Pour cela, téléphonez au 06 77 60 24  99