1 mai 2023

L’islamo-gauchisme menace et montre son visage haineux : La terreur toujours et encore

Par Michel Festivi

On le savait, on y était habitué, mais à chaque fois cela fait froid dans le dos. Déjà par le passé, Reynald Secher, le valeureux historien de l’histoire génocidaire de la Vendée, grand prix de l’Académie française, avait subi les foudres, non pas de l’islamo-gauchisme à l’époque, mais du gauchisme violent, qui depuis des lustres empêche toute liberté d’expression de la pensée et gangrène l’Université française d’ailleurs en pleine déliquescence.

Les Robespierristes des facultés, à défaut de pouvoir lui couper la tête, l’avaient fait écarter de toute carrière universitaire, malgré sa thèse de 3e cycle avec mention TB et son Doctorat d’État obtenu avec les félicitations du jury.

Plus récemment, en 2008, Sylvain Gouguenheim, universitaire médiéviste, qui avait osé démontrer dans son Aristote au Mont Saint Michel, la précocité d’une transmission directe du savoir grec par les monastères chrétiens, remettant ainsi en cause le dogme de la diffusion de la philosophie, des mathématiques et de la physique au Moyen Âge, par l’Espagne alors musulmane, car notamment la langue arabe n’était pas propice au développement de la pensée rationaliste, avait été cloué au pilori par les bordées d’injures de meutes d’universitaires biberonnés à l’islamo-gauchisme, qui souhaitaient sa mort professionnelle.

Pareillement en 2015, l’historien de la Shoah, Georges Bensoussan, qui dans une émission de radio d’Alain Finkielkraut « Répliques », avait dénoncé l’antisémitisme arabo-musulman de bon nombre de banlieues françaises, fut poursuivi judiciairement et par le Parquet et par toutes les associations « antiracistes », subventionnées par nos impôts, dont le CCIF, qui fut dissous après l’assassinat de Samuel Paty. Relaxé à trois reprises jusqu’à la Cour de Cassation, après quatre années de procédure, il quitta ses fonctions au mémorial de la Shoah, dépité et dégoûté. (Cf son entretien avec Alexandre Devecchio du 22 septembre 2021 dans Le Figaro).

Mais tout récemment, c’est l’historienne-chercheuse au CNRS, Florence Bergeaud-Blackler, qui fait les frais de son enquête implacable sur les ramifications en Europe et en France des Frères Musulmans. Depuis la publication de son ouvrage chez Odile Jacob, Le Frérisme et ses réseaux, en janvier 2023, elle est l’objet d’invectives et de menaces de mort, comme le relate Le Figaro dans un article du 15 avril 2023 : « De la publication d’un ouvrage aux menaces de mort : itinéraire d’une chercheuse du CNRS prise pour cible. »

Ce livre, préfacé par Gilles Kepel, véritable plongée circonstanciée dans les arcanes des islamistes et de l’islam politique en Europe, a déchaîné des injures, des propos diffamatoires et des menaces de mort. Commencée sur les réseaux sociaux, cette cabale a été orchestrée par un ancien du CNRS, François Burgat, et par un avocat Rafik Chekkat, qui a osé comparer Madame Bergeaud-Blackler à l’antisémite Drumont. (Cf cet article du 15 avril 2023 où tout y est parfaitement détaillé). François Burgat est opportunément qualifié par Madame Bergeaud-Blackler de « compagnon de route des islamistes », comme il y avait dans un passé pas si lointain, des « compagnons de route des communistes », à tous les étages universitaires, remplacés aujourd’hui par des islamo-gauchistes.

Des plaintes pour menaces de mort ont dû être déposées, Madame Bergeaud-Blackler a été placée sous protection policière. Mais cette dernière a déclaré, ce qui en dit long sur l’état de soumission absolue de l’université française à l’islamo-gauchisme : « Ma promotion est bloquée depuis plusieurs années… Mes travaux n’étaient jamais mis en avant, notamment à l’Ireman (Institut de recherche sur le monde arabe et musulman), où François Burgat a été directeur de recherches », tiens, tiens, bizarre.

L’Avocat de Madame Bergeaud-Blackler, Thierry de Montbrial (le CNRS a finalement accepté, non sans mal, de lui accorder une protection fonctionnelle), détaille judicieusement : « S’est mis en place autour d’elle un cycle similaire à celui qui a conduit au martyre de Samuel Paty : on la dénigre professionnellement, puis on l’a traité “d’islamophobe”, ce qui lui colle une cible dans le dos. »

Car comme le disait Georges Bensoussan, « le vrai tabou n’est pas l’antisémitisme, mais qui sont les antisémites ? » Pierre-André Taguieff répond clairement à cette question : « Depuis le début des années 2000, les meurtres de français juifs, tués en tant que juifs ne sont pas commis par des extrémistes de gauche ou de droite, mais par des jeunes musulmans, souvent des délinquants ou ex-délinquants… depuis 2003, ceux qui, en France, ont assassiné des juifs en tant que juifs se sont tous réclamés de l’islam. »

Voir P.-A. Taguieff, La judéophobie islamiste est la matrice de la judéophobie mondialisée, dans son grand entretien avec Alexandre Devecchio au Figaro Magazine du 18 février 2022, à l’occasion de la publication de son livre, Sortir de l’antisémitisme, chez Odile Jacob.

Directement ou indirectement, la gauche et le gauchisme épaulent cet antisémitisme sous couvert de lutte contre « l’islamophobie », comme ils acceptaient la terreur mortifère communiste sous le prétexte d’un soi-disant « antifascisme », l’histoire de la Ligue des « droits de l’Homme » avec son refus militant de condamner les procès de Moscou en a été une preuve patente.

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