Viols en série au Royaume-Uni : connaissez-vous Tommy Robinson ?
Entre 2005 et 2012, de très nombreuses jeunes femmes ont été victimes de viols au Royaume-Uni. Si les viols sont malheureusement courants dans ce pays comme ailleurs, ceux en question présentent la particularité d’avoir les mêmes caractéristiques : les victimes sont des jeunes femmes blanches de milieu modeste et les agresseurs des hommes d’origine « asiatique », le terme utilisé outre-manche pour désigner notamment les Pakistanais. Les enquêtes réalisées à la suite de ces viols permettent avec le recul de constater que nous sommes en présence d’un phénomène collectif impliquant de très nombreuses personnes, très probablement organisées, qui ne répond pas aux caractéristiques habituelles des viols « d’impulsion ».
Rotherham, Oxford, Rochdale, Derby, Banbury, Telford, Peterborough, Aylesbury, Bristol, Halifax, Keighley, Newcastle : les villes concernées sont longues à énumérer, comme la liste des personnes dont la vie a été dévastée par les agissements d’individus malfaisants.
En novembre 2018, l’Observatoire du journalisme soulignait la conspiration du silence qui a longtemps prévalu autour de ces faits particulièrement graves.
Il faudra peut-être un jour faire le procès de tous ceux qui savaient et se sont tus, travailleurs sociaux, journalistes, policiers, etc. pour ne pas être accusé de racisme. Et qui ont contribué à accroitre le nombre des viols commis. Car comme le dit Tommy Robinson dans son documentaire au sujet des très nombreux viols présentant les mêmes caractéristiques « de race », ne pas dire les choses par crainte de racisme, cela peut être aussi du racisme. Car c’est considérer que des violeurs auraient des circonstances atténuantes au seul motif de leurs origines, et qu’il vaut mieux ne pas en parler, pour favoriser l’intégration de la « communauté » à laquelle les violeurs appartiennent.
Cette perversion de l’antiracisme, qui aboutit à taire des faits établis, aurait dans le cas présent pu faire l’objet d’études sociologiques, si cette discipline n’était pas gangrénée par l’idéologie « woke ». Car il y a bien une dimension sociologique, au sens d’un phénomène collectif présentant des caractéristiques communes, dans ces affaires.
Ces viols en série renvoient à des problèmes que le système refuse de voir : les difficultés de cohabitation entre individus de cultures radicalement différentes, la conception du rôle de la femme dans la société, le « seuil de tolérance » de l’immigration, ce concept si rapidement évoqué en 1989 par François Mitterrand et si rapidement oublié sous la pression du clergé médiatique qui sévissait déjà alors. Des exemples plus récents de cette cécité, à Cologne, Milan et ailleurs, nous montrent que le voile du silence recouvre toujours pudiquement tous ces évènements gênants
Le « sulfureux » Tommy Robinson
Tommy Robinson a un C.V. qui rebute les recruteurs en mal de respectabilité : il a été condamné pour quelques délits de droit commun, il a appartenu à l’English Defence League et au mouvement Pegida au Royaume-Uni. Il a filmé à la sortie du tribunal des personnes inculpées de viol, ce qui lui a valu une condamnation à de la prison ferme. Son témoignage à Tucker Carlson sur la chaîne Fox news sur ses conditions de détention en dit long sur l’acharnement à vouloir faire taire quelqu’un qui n’hésite pas à enfreindre les lois pour faire toute la lumière sur ce que l’on pourrait appeler pudiquement « les événements ».
Tommy Robinson vient de rendre disponible sur le net un documentaire intitulé « Le viol de la Grande Bretagne ». Il présente – uniquement en anglais pour le moment – le témoignage d’une jeune femme, Nicole, violée à plusieurs reprises. Elle y accuse nommément plusieurs personnes d’origine pakistanaise de l’avoir violé. Elle dénonce le classement sans suite de sa plainte bien qu’elle ait été enceinte de l’un des violeurs et que son ADN pouvait établir l’identité du géniteur. Elle indique avoir fourni 3 heures de vidéos de preuves. Elle accuse un policier de la ville où elle vit, Telford, de corruption pour avoir accepté une « enveloppe » de l’un de ses agresseurs. Toutes ces accusations sont graves, comme sont graves les faits reprochés s’ils sont avérés.
L’enquête de Tommy Robinson semble gêner au plus haut point : à la toute fin de son documentaire, on apprend que depuis le début de l’enquête, une dizaine de voitures de personnes ayant participé à l’enquête, dont la sienne, ont été incendiées. Sur YouTube, la vidéo du documentaire a bien évidemment été supprimée après une courte période de diffusion. La version publiée sur GETTR est toujours disponible à ce jour.
Aux frontières de la légalité
On peut faire beaucoup de reproches à Tommy Robinson. Il n’hésite pas à enfreindre la loi quand il estime sa cause juste. Ainsi, malgré une interdiction de la justice britannique, il a filmé des personnes accusées de viols à la sortie du tribunal lors de leur procès, à Canterbury en 2017 et à Leeds en 2018. Ce qui selon une juriste britannique au micro de la BBC est « préjudiciable aux droits de la défense ». Il a été condamné à de la prison ferme pour ces faits, dans des conditions qu’il décrit comme particulièrement vexatoires.
Pour le documentaire qui vient de sortir, il a tenté – sans succès – d’« interviewer » de façon assez inquisitrice des personnes que Nicole accuse de l’avoir violée. Mais sa démarche ne peut être comprise qu’en prenant en compte la confiance perdue par de nombreux Britanniques dans leurs institutions à la suite de ces affaires. Et l’une des explications à la popularité de Tommy Robinson outre-manche vient très certainement du besoin de libération de la parole au sujet de ce phénomène que l’establishment souhaite par-dessus tout cacher, car il en porte une partie de la responsabilité.
Tommy Robinson sera très probablement de nouveau condamné avant que le nouveau documentaire qu’il compte réaliser sur « les événements » sorte. Son casier judiciaire sera peut-être un peu plus chargé. Comme nous l’apprend la BBC, la justice vient d’ailleurs de lui réclamer le paiement d’amendes non réglées. Mais il n’est pas sûr que cela suffise pour le faire taire.
Article paru sur le site de l’OJIM.
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