Au-dessus de l’État est la Nation
En un moment où la souffrance de la Nation française est brutalement assénée à la classe politique – qui s’en moque et réplique par le mensonge et une violence illégitime – et où se multiplient les doctes publications où l’on explique, en un style compassé, ce que devrait être le Bon gouvernement et la nocivité du capitalisme tel qu’il est pratiqué depuis les années 1830 – en oubliant trop souvent d’insister sur le tas d’immondices que fut chaque État marxiste –, il peut paraître légitime d’en revenir aux notions de base, aux fondements de la vie en commun.
On a presque honte de le rappeler, mais dans ce régime misérable qui est le nôtre, cette Ve République qui agonise dans la veulerie, la médiocrité, la pourriture médiatico-politicienne, il semble utile et bon de crier cette évidence : l’État n’est pas une fin en soi, l’État n’est nullement le souverain-maître, encore moins le souverain-bien.
C’est la Nation et elle seule qui importe. C’est pour elle que sont faites les institutions. C’est pour assurer sa protection et sa prospérité que l’État fut créé, dont le coût, en impôts et en taxes, dont la charge quotidienne, en règlements divers et en obligations contractuelles, ne sont légitimes et supportables que si le Bien commun est géré avec efficacité, permettant en outre d’espérer un avenir meilleur pour les générations à venir.
Il importe peu que l’on vive sous le gouvernement d’un monarque, d’une assemblée ou dans un mixage de ces deux éléments, pourvu que la vie soit facilitée par l’ensemble des lois, que l’économie privée fonctionne pour le bien de la communauté et que le secteur public assure la sécurité, les communications, la liberté des honnêtes citoyens laborieux et l’égalité de tous devant la Loi.
L’État n’a pas à jouer un rôle dans la vie économique, sauf à permettre la libre circulation des personnes, des biens et des idées. Il n’est nullement certain que l’État doive se soucier d’instruction – dans les secteurs autres que la formation des agents du service public –, ou de soins – sauf à organiser les secours d’urgence. Au quotidien tout ceci peut être réalisé par le secteur privé à meilleur coût et avec une plus grande efficacité que dans le cadre de la fonction publique.
Pour ce que l’on nomme « culture », l’État ne doit pas servir de vache à lait à de pseudo-artistes fantaisistes et pique-assiette, mais multiplier les musées et les bibliothèques de prêt, en accès gratuit aux citoyens, puisque leurs impôts et taxes financent ces établissements. L’État devient totalitaire quand il impose sa propagande, quand il interdit la diffusion d’informations exactes. Son intervention dans la vie intellectuelle doit se limiter à la répression de la pornographie et de la calomnie… en France, la pornographie est affichée et les maîtres du Pouvoir abusent de la calomnie !
En revanche, l’État doit assurer l’avenir des générations futures, en évitant à la Nation les risques prévisibles. C’est le rôle de l’Armée et des Relations étrangères, ainsi que celui d’une saine politique de gestion de l’immigration.
Personne ne serait assez sot, dans la vie privée, pour introduire chez soi une crapule sexuelle, un raciste furieux ou un fanatique religieux prêchant l’extermination des « infidèles ». Aucun manager d’entreprise ne serait assez stupide pour engager des illettrés, des fainéants, des fauteurs de troubles. C’est pourtant ce que fait l’État français par sa politique migratoire débile, ruineuse pour les Finances publiques et périlleuse pour l’avenir de la Nation.
N’importe qui a le droit de croire en ce qu’il veut et de suivre ses instincts sexuels avec l’individu majeur de son choix. On peut croire au dieu-camembert ou n’y pas croire, mais nul n’a le droit d’imposer sa croyance à autrui. De la même façon, les minorités ethniques ou tribales, sexuelles ou sectaires n’ont en aucun cas le droit d’exiger un traitement spécial, un régime de faveur. Par définition, la Loi est la même pour tous.
L’égalité de tous les citoyens devant la Loi – l’Isonomia – reste le principe fondamental d’un État régi par nos valeurs européennes. Et les Français n’ont que faire des usages de peuples issus d’autres continents. Il n’est pas sûr qu’il faille importer des millions d’individus, mais, assurément, notre culture scientifique et technique, intellectuelle et artistique a amplement prouvé qu’elle surpassait ces « arts premiers » et ces usages moyenâgeux qu’il est stupide au plus haut point de vouloir assimiler.
Si nos gouvernants ne veulent pas respecter la Nation et assurer les conditions de sa pérennité, alors la Nation doit se séparer de ses gouvernants. On peut le faire en douceur, par l’expression d’un vote massif de rejet, si la Nation est consultée démocratiquement. On peut le faire brutalement, en cas de tyrannie. C’est affaire de sensibilité et d’opportunité. L’idéal est toujours de préférer la solution la moins coûteuse.
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