Contre l’État mondialiste : la Révolution ou le Front Populiste
Les Français sont responsables, donc coupables, de ce qui se passe sous nos yeux et à deux niveaux : celui de la triste actualité – où des flics, soldés avec l’argent de nos impôts et de nos taxes, tabassent, voire mutilent des Français qui contestent un pouvoir ignoble – et celui de l’avenir encore plus sombre – puisque la France (et d’autres pays européens) est entrée en une phase de péril civilisationnel.
Lorsque les racailles des cités de non-droit se lancent dans des émeutes raciales, à coups de mortiers et de « Kala », en plus des cocktails Molotov, nos doux princes n’envoient que des canons à eau et attendent que les voyous se fatiguent, ce qui prend de 5 à 10 jours, durant lesquels des quartiers sont ravagés. Avec nos deniers, l’État répare aussitôt les installations – probablement pour permettre aux canailles de se défouler à nouveau lorsqu’elles « auront leurs nerfs » et voudront détruire encore plus de biens publics et privés – et les assurances paient les dégâts – en augmentant les primes payées par les honnêtes gens.
Ces trois derniers mois, c’est du « petit-blanc » qui conteste. Alors, nos merveilleux princes déchaînent leurs sbires et l’on éborgne à qui mieux mieux. On trouve même des médecins pour nous dire qu’une femme âgée atteinte par un éclat de grenade est morte d’un arrêt cardiaque… le médecin que je suis aimerait connaître un seul cas dans le monde animal où l’on ne meurt pas, en définitive, d’un arrêt du cœur.
Que le mouvement des Gilets Jaunes soit perverti par des voyous, issus d’une extrême-gauche de fils à papa trotskistes et de nervis soldés par les fonds secrets du ministère de l’Intérieur, tout le monde le sait. Que le motif de la révolte populaire (une énième augmentation des taxes en une époque où les pauvres s’appauvrissent chaque année davantage) ne soit qu’un épiphénomène du cancer social dénommé Économie globale + Immigration invasion, soit ce que les meneurs de ce mouvement ne comprennent pas ou n’osent invoquer, on le sait également.
Le spectacle indécent d’un Président arrogant, qui méprise les malchanceux et les ratés du système éducatif français qui est effectivement lamentable et inadapté à l’époque actuelle, les minauderies de son épouse qui ferait mieux d’être discrète, les scandales de collaborateurs faisandés (une ministresse flirtant avec le conflit d’intérêts et un psychopathe issu de l’immigration extra-européenne, en attendant l’inévitable révélation d’autres turpitudes) laissent chez les plus calmes un arrière-goût de décadence et font naître chez les plus agités un désir d’action radicale.
La Révolution peut tenter les fous furieux et les ignorants. Il n’est que de rares exemples de révolution non-violente, peu tueuse et peu destructrice de biens : celle de 1688-1689 à Londres et celle de 1830 à Paris, où de riches bourgeois ont soulevé et canalisé la populace pour chasser un monarque au comportement absurde, anachronique, grotesque.
Il est exact que notre Jeune Président est stricto sensu une « Tête à claques », mais le chasser de façon démocratique serait la meilleure solution, faisant ainsi passer un message clair aux sponsors richissimes qui nous l’ont vendu en moins d’une année de promesses démagogiques, grâce à un cirque médiatique éblouissant.
Il n’est que trop évident que le groupe des tireurs de ficelles – les gagnants de l’Économie globale et de l’hyperconsommation induite par l’Immigration-invasion – va financer de multiples listes électorales, voire un parti d’opposition anti-macronien, lâchant le Jeunot devenu impopulaire pour avoir abattu ses cartes trop vite et d’une façon maladroite à un point jamais vu en République. Le but des financiers-entrepreneurs-négociants sera de trouver une alternative au macronisme agonisant, grâce à d’autres pantins plus habiles dans la présentation du brouet mondialiste et globaliste.
Or, le péril économique et financier sur lequel l’attention est focalisée – car on ne peut en aucun cas en nier le risque à la différence des bobards climatiques – est moins dangereux que le péril civilisationnel.
L’Europe a exporté sa technologie durant un demi-millénaire, apportant le progrès dans les autres continents, sous-développés, sous-évolués. De nos jours, les canailles financières qui dirigent l’économie mondiale ont jugé bon de détruire l’Europe comme foyer de culture et de progrès technique. À l’évidence, dans cinquante ans au plus et de fait probablement plus vite, les pays d’Europe occidentale et scandinave seront peuplés en majorité d’Extra-Européens et de produit de métissage.
Macron, c’est non seulement le Président des riches – comme cela fut le cas de tous les Présidents de notre France depuis 1969. C’est aussi et surtout le Président de l’Immigration-invasion, initiée par le décret Giscard-Chirac de 1976.
Ou le peuple de France prend conscience de cela ou il va disparaître en tant que tel. Une Révolution, si elle amuse les abrutis et les ambitieux, si elle libère les instincts meurtriers et destructeurs, est toujours décevante. L’unique leçon à tirer des années 1789, 1917 ou 1979 (le début des stupidités iraniennes) est de préférer la méthode démocratique : on renverse un mauvais système par l’élection de véritables gestionnaires du Bien commun.
L’alternative est simple : ou bien l’on s’achemine un peu plus vers la fin de notre Europe, civilisatrice car peuplée d’Européens de souche, ou bien l’on porte démocratiquement au pouvoir un Bloc Populiste, formé d’honnêtes gens, dirigés par un chef dévoué à sa Nation.
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