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15 avril 2018

1939-1945 : trois guerres différentes

Entretien avec Bernard Plouvier, auteur de Le Führer en guerre : 1939-1945 (Le Führer et son image – volume II), éditions Déterna Propos recueillis par Fabrice Dutilleul.   Ne croyez-vous pas que tout a été dit, écrit, voire rabâché sur Hitler le fauteur de guerre, le mauvais stratège et le tueur de Juifs ? À quoi bon un nouveau livre sur un sujet aussi rebattu. Pour d’excellentes raisons ! […]

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12 mai 2017

Un pour tous, tous contre Huns

Pendant la Ire Guerre mondiale, les Français, endoctrinés depuis deux générations par les hussards noirs de la république, assimilaient leurs ennemis aux Germains des grandes invasions. Les Anglais, eux, les appelaient les Huns. Peut-être parce qu’en tant que descendants des Angles et des Saxons, ils se sentaient quelque parenté avec les peuples germaniques. Mais non sans vraies raisons.

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1 novembre 2016

Vers l’Empire européen ?

En 1918-1919, à l’issue d’une guerre civile européenne où un bord avait cru bon de convier le loup nord-américain, d’ambitieux politiciens – soutenus par les chauvinismes régionaux entretenus par une sous-littérature romantique – obtinrent des vainqueurs haineux et vengeurs le droit de créer une poussière d’États, dans les régions danubiennes aussi bien que sur les rives de la Baltique.

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9 octobre 2016

Aetius, le vainqueur d’Attila aux Champs Catalauniques

« Les maux qui causèrent la décadence romaine peuvent se résumer à 4 points : dégradation du Politique en dictature, disparition du sens civique sous la démagogie, perte des repères identitaires dans le cosmopolitisme et enfin le coup de poignard de l’Église pour un objectif de théocratie universelle… »

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22 septembre 2016

« La Ligne Bleue des Balkans » (1)

Première remarque : dès le départ il a fait très chaud, mais plus particulièrement à l’arrivée (températures diurnes largement supérieures à 30 °C et nocturnes à 20 °C). Seconde remarque : pour affronter les routes et pistes balkaniques, surtout guidé par un GPS chinois lunatique, mieux vaut avoir un petit 4×4 japonais robuste. Et pas de problèmes lombaires pour supporter 7 610 km de l’Atlantique à la Mer Noire.

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